mercredi 31 mai 2017

L'air des vols commerciaux contiendrait des neurotoxines dont de l'amiante ?

 Selon un rapport l'air des vols commerciaux pourrait contenir des substances cancérigenes dont de l'amiante car cet air passerait par les moteurs des turbines de moteurs !

L’organisation GCAQE – GLOBAL CABIN AIR QUALITY EXECUTIVE – étudie l’air contaminé des 60 dernières années

Le Global Cabin Air Quality Executive (GCAQE) créé en 2006 est le chef de file
d’organisations internationales axées sur le traitement de la question de la contamination de l’air dans les avions. Une multitude de données compilées au cours des 60 dernières années confirment que l’air contaminé pose à la fois la question de la sécurité des vols et des risques de santé pour les personnes exposées : cela ne devrait pas être ignoré.
Pour comprendre les causes du syndrome aérotoxiques, l’AVSA vous propose de télécharger le PDF ci-dessous : il concerne l’étude menée par le GCAQE et apporte toutes les réponses techniques et médicales pour les personnels de bord, les techniciens de maintenance et les passagers.

TELECHARGEZ L’ETUDE DU SUR LES CAUSES DU SYNDROME AEROTOXIQUE

Les causes techniques en vidéo

Pour faciliter la compréhension des causes techniques du syndrome aérotoxique, Tim van Beveren, le réalisateur du documentaire « Le syndrome aérotoxique : Passagers en périls ? » a créé pour l’AVSA une vidéo de 4mn30 :

Le résumé de l’étude GCAQE

L’étude étant pour l’instant en anglais, l’AVSA a résumé en français ci-dessous cette étude sur les causes du syndrome aérotoxique.
L’air que l’on respire en vol, à bord de tous les avions à réaction commerciaux de passagers actuellement en vol, est fourni aux passagers et aux équipages à partir d’un dispositif nommé « bleed air » en angais,  une sorte de prélèvement d’air située dans la partie de compression du réacteur.
L’air récupéré dans ce dispositif sera contaminé dans des quantités variables avec de la pyrolyse (décomposition de la matière organique à températures élevées) d’huile moteur.
En plus d’être refroidi pour devenir l’air conditionné destiné au cockpit et à la cabine passager, l’air transmis n’est pas filtré.
Le « bleed air » est utilisé pour respirer de l’air sur chaque appareil pressurisé dans lequel vous voyagez sur, depuis les derniers avions de très grande capacité aux avions régionaux turbopropulsés. Seul le Boeing 787 Dreamliner utilise des compresseurs électriques spécifiques.
La plupart des avions à réaction modernes recyclent également une partie de l’air de la cabine de l’avion pour réduire la quantité de « bleed air » prise constamment du moteur.
Cet air recyclé peut être filtré pour les bactéries et les virus en utilisant des filtres HEPA, mais il n’est pas filtré pour des jets dangereux de sous-produits de l’huile moteur qui peuvent contaminer l’alimentation en air, tel que le monoxyde de carbone.
De plus, les fluides hydrauliques ou de dégivrage peuvent également contaminer l’alimentation en air de la cabine.
« Bleed air » d’un Boeing 737 : l’intérieur est noir de la contamination par l’huile
Conduits d’alimentation d’air sur un VC-10 : l’intérieur est sale et poussiéreux, mais il n’a pas de trace d’huile

mardi 23 mai 2017

L'Algérie céde gratuitement un gisement gazier de 100 000 000 000 000 de dollars à la France et Israel !

L’homme politique algérien Rachid Nekkaz a effectué une marche de 3 124 km pour protester contre la vente des ressources naturelles de son pays aux étrangers. Il confie à RT France sa perception de la politique algérienne.
RT France : Comment analysez-vous le dernier communiqué de presse du président algérien ?
Rachid Nekkaz (R. N.) : Ce communiqué date du 24 février, c’est le jour où l’ancien président algérien Houari Boumédiène avait nationalisé les hydrocarbures. Et moi-même, j’ai décidé d’arriver à Timimoun le dernier jour de ma marche de 3 124 kilomètres le 24 février, pour le 45e anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures, c’est-à-dire, du gaz et du pétrole algériens. J’ai choisi cette date parce que j’estime qu’on a fait marche arrière depuis 16 ans. L’Algérie ne dispose plus de sa souveraineté économique sur son gaz et son pétrole.
Le pays est dans un processus antirévolutionnaire depuis 1999 et les communiqués de presse qui émanent de la présidence de la république algérienne sont complétement faux et contraires à la réalité du pays depuis fin 1999. L’essentiel des richesses pétrolières et gazières du pays ont été vendues aux multinationales étrangères. D’ailleurs, à la fin de l’année, l’entreprise française Total va exploiter du gaz de schiste là où j’ai marché, à Timimoun, dans la région d’Adrar dans le sud du pays, qui appartient déjà à 65% à Gaz de France. C’est un cadeau que le président algérien a fait à la France en 2002. Donc, vous voyez, entre les déclarations publiques algériennes et la réalité, il y a une montagne de mensonges. Et c’est ce qui est malheureux dans ce pays.
Tout le désert algérien n’appartient plus à l’Algérie, il appartient aux multinationales étrangères
RT France : A la diffusion du communiqué, l’écrivain Rachid Boudjedra a publié un éditorial où il se demande si le pays est redevenu révolutionnaire. Qu’en pensez-vous ?
R. N. : Elle l’a été au temps du président Boumédiène, qui est mort en 1978. Mais, depuis l’arrivée du président Bouteflika en 1999, l’Algérie est dans un processus antirévolutionnaire continu. Tout le désert algérien n’appartient plus à l’Algérie, il appartient aux multinationales étrangères, dont la majorité sont des multinationales françaises et américaines. C’est pourquoi aujourd’hui l’Algérie est obligée d’exploiter du gaz de schiste. L’Algérie a, par exemple, été obligée d’augmenter les prix de l’essence et du gasoil de 35% en janvier parce qu’il n’y avait plus assez d’argent. Depuis 1999, jamais la France, jamais les Etats-Unis n’ont émis la moindre critique sur le régime algérien, jamais. Jamais en 17 ans.
RT France : Dans ce communiqué de presse le président évoquait la nocivité du capitalisme et sa corrélation avec l’impérialisme…
R. N. : C’est complétement faux. Depuis peu, des compagnies étrangères peuvent rentrer dans le capital des entreprises publiques algériennes, et ça c’est une première dans l’histoire du pays. Une entreprise française, par exemple, peut être actionnaire d’une entreprise publique algérienne au bout de cinq ans et c’est même déjà le cas aujourd’hui avec notamment, Gaz de France qui possède 65% de la société Touatgaz depuis 2002 et ce jusqu’en 2043. C’est scandaleux.
Si vous enlevez le gaz et le pétrole à l’Algérie, l’Algérie n’existe plus, ça va être la famine, le pays se transformera en une Somalie
RT France : S’agit-il pour vous de répercussions de l’époque coloniale ?
R. N. : Nous sommes toujours totalement colonisés sur le plan économique. Et c’est la raison pour laquelle il est très important aujourd’hui d’avoir la maîtrise de nos ressources pétrolières et gazières. Si on ne fait pas l’OPEP du gaz avec la Russie et l’Iran, vous allez voir que dans maximum deux ans, l’Algérie va à nouveau être obligée d’emprunter à la Chine qui exerce un rôle très important aujourd’hui en Algérie et en Europe. Donc, oui, nous ressentons encore les séquelles d’un colonialisme économique. C’est une réalité dans le Sahara algérien. Il n’y a pas de quoi vivre en Algérie. Les gens ne se rendent pas compte, mais l’Algérie ne produit absolument rien, même pas des cotons-tiges. L’Algérie ne fabrique même pas de tasses pour boire du café. Tout est importé, absolument tout. C’est une calamité. Si vous enlevez le gaz et le pétrole à l’Algérie, l’Algérie n’existe plus, ça va être la famine, le pays se transformera en une Somalie.
Le président Bouteflika n’existe plus politiquement
RT France : Est-ce que le président dirige vraiment le pays ?
R. N. : Est-ce que vous savez qu’aucun Algérien n’a vu le président depuis 44 mois ? Le président Bouteflika a été un excellent ministre des Affaires étrangères à l’époque du président Boumédiène, c’est-à-dire, entre 1965 et 1978. S’il a été un excellent ministre des Affaires étrangères, la politique économique conduite sous présidence d’Abdelaziz Bouteflika est une catastrophe. Oui, il a rétablit la paix, après une guerre civile qui a causé 200 000 morts de 1992 à 1999, mais, sur le plan économique, c’est une catastrophe. Le pays dépend toujours à 98% des recettes du gaz et du pétrole. Parce que le pays a accepté la division internationale du travail, et donc, fournit du gaz et du pétrole à l’Europe.
A vrai dire, le président Bouteflika n’existe plus politiquement. C’est donc les voyous qui composent son entourage qui ont vendu le pays.
Les opinions, assertions et points de vue exprimés dans cette section sont le fait de leur auteur et ne peuvent en aucun cas être imputés à RT.

 Pour faire taire les critiques et garder Bouteflika au pouvoir alors qu'il est devenu l'équivalent d'un poisson rouge dans un bocal said Bouteflika aurait arrosé de millions d'euros des politiciens français et des journalistes et des gens influents afin de garder le pouvoir et de faire taire toute critique!

  Ainsi selon Rachid Nekkaz l'Algérie aurait cédé sans aucune contrepartie les champs de gaz de l'Adrar dont 65 pourcent seraient détenus par gaz de France et 35 pourcent à des fonds de pension israéliens !
Ce n'est pas tout des gisements de Hassi R'mel et Hassi Messouad aurait été cédé à une société écran italienne proche de Berlusconi et Sarkozy !


 Chekib Khelil dés 2002 a donné les gisements de l'Adrar a gaz de France sans aucune contrepartie au peuple algérien lui aurait reçu 250 millions en Suisse pour cette spoliation du peuple algérien au profit de la France !

   De plus Chekib Khelil en fait un marocain de la CIA et Bouteflika ont donné tout le sahara algérien gratuitement au amis de Bush les nazis suisse de Skull and Bones qui ont tué 15 millions de civils irakiens donc les dromadaires ne peuvent plus pâturer le sahara tout est entouré par des grillages de 3 m de haut avec des caméras et des mitrailleuses automatiques en terme clair Bouteflika a donné 90 pourcent du territoire national aux USA en particulier ses amis américains d'origine suisse allmandes et nazis membres de soleil noir !

  Comment un seul homme Bouteflika peut spolier tout un peuple de ses terres condmanant à la famine ses troupeaux l'Algérie comptait 7 millions de dromadaires en 1978 puis 3 millions en 1991 et il ne reste plus que 30 000 dromadaires !

 Les habitants du Mzab à Gherdaia sont encerclés par les grillages des militaires algériens protégeant ce clonialisme américain la ville est étranglé et ce pouvoir d'Alger à fomenté une guerre civile pour chasser les habitants de Ghardaia une ville qui se trouve sur une réserve de pétrole que convoite la CIA et le Mossad les amis de Chekib Khelil il ya eu des centaines de morts et des bombes tout cela pour donner les terres de la tribu des Mzab aux américains et israéliens et suisses du Texas !




Rachid Nekkaz : «la France utilise la faiblesse du président algérien pour s’approprier son gaz»

Rachid Nekkaz : «la France utilise la faiblesse du président algérien pour s’approprier son gaz»D’après le président du parti algérien «Mouvement pour la jeunesse et le changement», la visite de François Hollande en Algérie confirme que la France veut continuer à profiter impunément de ses ressources naturelles.
RT France : Comment interprétez-vous la visite de François Hollande en Algérie ?


Rachid Nekkaz (R. N.) : Je crois que la visite du président Hollande est une visite pour s’assurer que les contrats de gaz et de pétrole qui ont été signés avec l’Algérie vont être respectés alors que l’état de santé du président algérien est extrêmement préoccupant. S’il rend visite au président algérien, qui ne s’est plus adressé au peuple algérien et qui est invisible sur la scène politique nationale et internationale depuis deux ans, cela signifie que la France essaie de profiter de la faiblesse du président algérien et de l’absence de légitimité de son gouvernement pour continuer d’obtenir davantage de contrats à son avantage. Il faut savoir, par exemple, que 65% du gaz naturel du désert algérien à Adrar qui se trouve à 1400 km au sud d’Alger appartient à la France, c’est-à-dire que la France a accès à 68,5 milliards de mètres cubes de gaz naturel jusqu’en 2043.Le m3 de gaz est facturé 1000 euros au consommateur français ce qui fait un bénéfice net de 68 trillions de dollars une somme à peine imaginable soit 68 500 000 000 000 de dollars !

 Donc l'Algérie a donné sans rien en échange plus de 70 trillions de  dollars à la France et plus de 35 de trillions à Israel au détriment du peuple algérien qui lui meurt de faim et est taxé par ces vampires !

L'Algérie donne gratuitement un gisement de gaz valant 35 000 millards de dollars à Israel !

L’homme politique algérien Rachid Nekkaz a effectué une marche de 3 124 km pour protester contre la vente des ressources naturelles de son pays aux étrangers. Il confie à RT France sa perception de la politique algérienne.
RT France : Comment analysez-vous le dernier communiqué de presse du président algérien ?
Rachid Nekkaz (R. N.) : Ce communiqué date du 24 février, c’est le jour où l’ancien président algérien Houari Boumédiène avait nationalisé les hydrocarbures. Et moi-même, j’ai décidé d’arriver à Timimoun le dernier jour de ma marche de 3 124 kilomètres le 24 février, pour le 45e anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures, c’est-à-dire, du gaz et du pétrole algériens. J’ai choisi cette date parce que j’estime qu’on a fait marche arrière depuis 16 ans. L’Algérie ne dispose plus de sa souveraineté économique sur son gaz et son pétrole.
Le pays est dans un processus antirévolutionnaire depuis 1999 et les communiqués de presse qui émanent de la présidence de la république algérienne sont complétement faux et contraires à la réalité du pays depuis fin 1999. L’essentiel des richesses pétrolières et gazières du pays ont été vendues aux multinationales étrangères. D’ailleurs, à la fin de l’année, l’entreprise française Total va exploiter du gaz de schiste là où j’ai marché, à Timimoun, dans la région d’Adrar dans le sud du pays, qui appartient déjà à 65% à Gaz de France. C’est un cadeau que le président algérien a fait à la France en 2002. Donc, vous voyez, entre les déclarations publiques algériennes et la réalité, il y a une montagne de mensonges. Et c’est ce qui est malheureux dans ce pays.
Tout le désert algérien n’appartient plus à l’Algérie, il appartient aux multinationales étrangères
RT France : A la diffusion du communiqué, l’écrivain Rachid Boudjedra a publié un éditorial où il se demande si le pays est redevenu révolutionnaire. Qu’en pensez-vous ?
R. N. : Elle l’a été au temps du président Boumédiène, qui est mort en 1978. Mais, depuis l’arrivée du président Bouteflika en 1999, l’Algérie est dans un processus antirévolutionnaire continu. Tout le désert algérien n’appartient plus à l’Algérie, il appartient aux multinationales étrangères, dont la majorité sont des multinationales françaises et américaines. C’est pourquoi aujourd’hui l’Algérie est obligée d’exploiter du gaz de schiste. L’Algérie a, par exemple, été obligée d’augmenter les prix de l’essence et du gasoil de 35% en janvier parce qu’il n’y avait plus assez d’argent. Depuis 1999, jamais la France, jamais les Etats-Unis n’ont émis la moindre critique sur le régime algérien, jamais. Jamais en 17 ans.
RT France : Dans ce communiqué de presse le président évoquait la nocivité du capitalisme et sa corrélation avec l’impérialisme…
R. N. : C’est complétement faux. Depuis peu, des compagnies étrangères peuvent rentrer dans le capital des entreprises publiques algériennes, et ça c’est une première dans l’histoire du pays. Une entreprise française, par exemple, peut être actionnaire d’une entreprise publique algérienne au bout de cinq ans et c’est même déjà le cas aujourd’hui avec notamment, Gaz de France qui possède 65% de la société Touatgaz depuis 2002 et ce jusqu’en 2043. C’est scandaleux.
Si vous enlevez le gaz et le pétrole à l’Algérie, l’Algérie n’existe plus, ça va être la famine, le pays se transformera en une Somalie
RT France : S’agit-il pour vous de répercussions de l’époque coloniale ?
R. N. : Nous sommes toujours totalement colonisés sur le plan économique. Et c’est la raison pour laquelle il est très important aujourd’hui d’avoir la maîtrise de nos ressources pétrolières et gazières. Si on ne fait pas l’OPEP du gaz avec la Russie et l’Iran, vous allez voir que dans maximum deux ans, l’Algérie va à nouveau être obligée d’emprunter à la Chine qui exerce un rôle très important aujourd’hui en Algérie et en Europe. Donc, oui, nous ressentons encore les séquelles d’un colonialisme économique. C’est une réalité dans le Sahara algérien. Il n’y a pas de quoi vivre en Algérie. Les gens ne se rendent pas compte, mais l’Algérie ne produit absolument rien, même pas des cotons-tiges. L’Algérie ne fabrique même pas de tasses pour boire du café. Tout est importé, absolument tout. C’est une calamité. Si vous enlevez le gaz et le pétrole à l’Algérie, l’Algérie n’existe plus, ça va être la famine, le pays se transformera en une Somalie.
Le président Bouteflika n’existe plus politiquement
RT France : Est-ce que le président dirige vraiment le pays ?
R. N. : Est-ce que vous savez qu’aucun Algérien n’a vu le président depuis 44 mois ? Le président Bouteflika a été un excellent ministre des Affaires étrangères à l’époque du président Boumédiène, c’est-à-dire, entre 1965 et 1978. S’il a été un excellent ministre des Affaires étrangères, la politique économique conduite sous présidence d’Abdelaziz Bouteflika est une catastrophe. Oui, il a rétablit la paix, après une guerre civile qui a causé 200 000 morts de 1992 à 1999, mais, sur le plan économique, c’est une catastrophe. Le pays dépend toujours à 98% des recettes du gaz et du pétrole. Parce que le pays a accepté la division internationale du travail, et donc, fournit du gaz et du pétrole à l’Europe.
A vrai dire, le président Bouteflika n’existe plus politiquement. C’est donc les voyous qui composent son entourage qui ont vendu le pays.
Les opinions, assertions et points de vue exprimés dans cette section sont le fait de leur auteur et ne peuvent en aucun cas être imputés à RT.

 Pour faire taire les critiques et garder Bouteflika au pouvoir alors qu'il est devenu l'équivalent d'un poisson rouge dans un bocal said Bouteflika aurait arrosé de millions d'euros des politiciens français et des journalistes et des gens influents afin de garder le pouvoir et de faire taire toute critique!

  Ainsi selon Rachid Nekkaz l'Algérie aurait cédé sans aucune contrepartie les champs de gaz de l'Adrar dont 65 pourcent seraient détenus par gaz de France et 35 pourcent à des fonds de pension israéliens !
Ce n'est pas tout des gisements de Hassi R'mel et Hassi Messouad aurait été cédé à une société écran italienne proche de Berlusconi et Sarkozy !

Rachid Nekkaz : «la France utilise la faiblesse du président algérien pour s’approprier son gaz»

Rachid Nekkaz : «la France utilise la faiblesse du président algérien pour s’approprier son gaz»D’après le président du parti algérien «Mouvement pour la jeunesse et le changement», la visite de François Hollande en Algérie confirme que la France veut continuer à profiter impunément de ses ressources naturelles.
RT France : Comment interprétez-vous la visite de François Hollande en Algérie ?


Rachid Nekkaz (R. N.) : Je crois que la visite du président Hollande est une visite pour s’assurer que les contrats de gaz et de pétrole qui ont été signés avec l’Algérie vont être respectés alors que l’état de santé du président algérien est extrêmement préoccupant. S’il rend visite au président algérien, qui ne s’est plus adressé au peuple algérien et qui est invisible sur la scène politique nationale et internationale depuis deux ans, cela signifie que la France essaie de profiter de la faiblesse du président algérien et de l’absence de légitimité de son gouvernement pour continuer d’obtenir davantage de contrats à son avantage. Il faut savoir, par exemple, que 65% du gaz naturel du désert algérien à Adrar qui se trouve à 1400 km au sud d’Alger appartient à la France, c’est-à-dire que la France a accès à 68,5 milliards de mètres cubes de gaz naturel jusqu’en 2043.Le m3 de gaz est facturé 1000 euros au consommateur français ce qui fait un bénéfice net de 68 trillions de dollars une somme à peine imaginable soit 68 500 000 000 000 de dollars !

 Donc l'Algérie a donné sans rien en échange plus de 70 trillions de  dollars à la France et plus de 35 de trillions à Israel au détriment du peuple algérien qui lui meurt de faim et est taxé par ces vampires !

Said Bouteflika donne les gisements de gaz de l'Adrar en cadeau à Israel et à la France !

  Pour faire taire les critiques et garder Bouteflika au pouvoir alors qu'il est devenu l'équivalent d'un poisson rouge dans un bocal said Bouteflika aurait arrosé de millions d'euros des politiciens français et des journalistes et des gens influents afin de garder le pouvoir et de faire taire toute critique!

  Ainsi selon Rachid Nekkaz l'Algérie aurait cédé sans aucune contrepartie les champs de gaz de l'Adrar dont 65 pourcent seraient détenus par gaz de France et 35 pourcent à des fonds de pension israéliens !
Ce n'est pas tout des gisements de Hassi R'mel et Hassi Messouad aurait été cédé à une société écran italienne proche de Berlusconi et Sarkozy !

Rachid Nekkaz : «la France utilise la faiblesse du président algérien pour s’approprier son gaz»

Rachid Nekkaz : «la France utilise la faiblesse du président algérien pour s’approprier son gaz»D’après le président du parti algérien «Mouvement pour la jeunesse et le changement», la visite de François Hollande en Algérie confirme que la France veut continuer à profiter impunément de ses ressources naturelles.
RT France : Comment interprétez-vous la visite de François Hollande en Algérie ?


Rachid Nekkaz (R. N.) : Je crois que la visite du président Hollande est une visite pour s’assurer que les contrats de gaz et de pétrole qui ont été signés avec l’Algérie vont être respectés alors que l’état de santé du président algérien est extrêmement préoccupant. S’il rend visite au président algérien, qui ne s’est plus adressé au peuple algérien et qui est invisible sur la scène politique nationale et internationale depuis deux ans, cela signifie que la France essaie de profiter de la faiblesse du président algérien et de l’absence de légitimité de son gouvernement pour continuer d’obtenir davantage de contrats à son avantage. Il faut savoir, par exemple, que 65% du gaz naturel du désert algérien à Adrar qui se trouve à 1400 km au sud d’Alger appartient à la France, c’est-à-dire que la France a accès à 68,5 milliards de mètres cubes de gaz naturel jusqu’en 2043.Le m3 de gaz est facturé 1000 euros au consommateur français ce qui fait un bénéfice net de 68 trillions de dollars une somme à peine imaginable soit 68 500 000 000 000 de dollars !

 Donc l'Algérie a donné sans rien en échange plus de 70 trillions de  dollars à la France et plus de 35 de trillions à Israel au détriment du peuple algérien qui lui meurt de faim et est taxé par ces vampires !
L’homme politique algérien Rachid Nekkaz a effectué une marche de 3 124 km pour protester contre la vente des ressources naturelles de son pays aux étrangers. Il confie à RT France sa perception de la politique algérienne.
RT France : Comment analysez-vous le dernier communiqué de presse du président algérien ?
Rachid Nekkaz (R. N.) : Ce communiqué date du 24 février, c’est le jour où l’ancien président algérien Houari Boumédiène avait nationalisé les hydrocarbures. Et moi-même, j’ai décidé d’arriver à Timimoun le dernier jour de ma marche de 3 124 kilomètres le 24 février, pour le 45e anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures, c’est-à-dire, du gaz et du pétrole algériens. J’ai choisi cette date parce que j’estime qu’on a fait marche arrière depuis 16 ans. L’Algérie ne dispose plus de sa souveraineté économique sur son gaz et son pétrole.
Le pays est dans un processus antirévolutionnaire depuis 1999 et les communiqués de presse qui émanent de la présidence de la république algérienne sont complétement faux et contraires à la réalité du pays depuis fin 1999. L’essentiel des richesses pétrolières et gazières du pays ont été vendues aux multinationales étrangères. D’ailleurs, à la fin de l’année, l’entreprise française Total va exploiter du gaz de schiste là où j’ai marché, à Timimoun, dans la région d’Adrar dans le sud du pays, qui appartient déjà à 65% à Gaz de France. C’est un cadeau que le président algérien a fait à la France en 2002. Donc, vous voyez, entre les déclarations publiques algériennes et la réalité, il y a une montagne de mensonges. Et c’est ce qui est malheureux dans ce pays.
Tout le désert algérien n’appartient plus à l’Algérie, il appartient aux multinationales étrangères
RT France : A la diffusion du communiqué, l’écrivain Rachid Boudjedra a publié un éditorial où il se demande si le pays est redevenu révolutionnaire. Qu’en pensez-vous ?
R. N. : Elle l’a été au temps du président Boumédiène, qui est mort en 1978. Mais, depuis l’arrivée du président Bouteflika en 1999, l’Algérie est dans un processus antirévolutionnaire continu. Tout le désert algérien n’appartient plus à l’Algérie, il appartient aux multinationales étrangères, dont la majorité sont des multinationales françaises et américaines. C’est pourquoi aujourd’hui l’Algérie est obligée d’exploiter du gaz de schiste. L’Algérie a, par exemple, été obligée d’augmenter les prix de l’essence et du gasoil de 35% en janvier parce qu’il n’y avait plus assez d’argent. Depuis 1999, jamais la France, jamais les Etats-Unis n’ont émis la moindre critique sur le régime algérien, jamais. Jamais en 17 ans.
RT France : Dans ce communiqué de presse le président évoquait la nocivité du capitalisme et sa corrélation avec l’impérialisme…
R. N. : C’est complétement faux. Depuis peu, des compagnies étrangères peuvent rentrer dans le capital des entreprises publiques algériennes, et ça c’est une première dans l’histoire du pays. Une entreprise française, par exemple, peut être actionnaire d’une entreprise publique algérienne au bout de cinq ans et c’est même déjà le cas aujourd’hui avec notamment, Gaz de France qui possède 65% de la société Touatgaz depuis 2002 et ce jusqu’en 2043. C’est scandaleux.
Si vous enlevez le gaz et le pétrole à l’Algérie, l’Algérie n’existe plus, ça va être la famine, le pays se transformera en une Somalie
RT France : S’agit-il pour vous de répercussions de l’époque coloniale ?
R. N. : Nous sommes toujours totalement colonisés sur le plan économique. Et c’est la raison pour laquelle il est très important aujourd’hui d’avoir la maîtrise de nos ressources pétrolières et gazières. Si on ne fait pas l’OPEP du gaz avec la Russie et l’Iran, vous allez voir que dans maximum deux ans, l’Algérie va à nouveau être obligée d’emprunter à la Chine qui exerce un rôle très important aujourd’hui en Algérie et en Europe. Donc, oui, nous ressentons encore les séquelles d’un colonialisme économique. C’est une réalité dans le Sahara algérien. Il n’y a pas de quoi vivre en Algérie. Les gens ne se rendent pas compte, mais l’Algérie ne produit absolument rien, même pas des cotons-tiges. L’Algérie ne fabrique même pas de tasses pour boire du café. Tout est importé, absolument tout. C’est une calamité. Si vous enlevez le gaz et le pétrole à l’Algérie, l’Algérie n’existe plus, ça va être la famine, le pays se transformera en une Somalie.
Le président Bouteflika n’existe plus politiquement
RT France : Est-ce que le président dirige vraiment le pays ?
R. N. : Est-ce que vous savez qu’aucun Algérien n’a vu le président depuis 44 mois ? Le président Bouteflika a été un excellent ministre des Affaires étrangères à l’époque du président Boumédiène, c’est-à-dire, entre 1965 et 1978. S’il a été un excellent ministre des Affaires étrangères, la politique économique conduite sous présidence d’Abdelaziz Bouteflika est une catastrophe. Oui, il a rétablit la paix, après une guerre civile qui a causé 200 000 morts de 1992 à 1999, mais, sur le plan économique, c’est une catastrophe. Le pays dépend toujours à 98% des recettes du gaz et du pétrole. Parce que le pays a accepté la division internationale du travail, et donc, fournit du gaz et du pétrole à l’Europe.
A vrai dire, le président Bouteflika n’existe plus politiquement. C’est donc les voyous qui composent son entourage qui ont vendu le pays.
Les opinions, assertions et points de vue exprimés dans cette section sont le fait de leur auteur et ne peuvent en aucun cas être imputés à RT.

mardi 16 mai 2017

Le coût de l'électricité en Algérie serait au moins cinq fois plus élevé qu'en France, Sonelgaz accusée de fraude !

 Le salaire moyen en Algérie est environ de 150 euros par mois l'équivalent du smic en France de 1200 euros.

 Hors les factures d'électricité en Algérie sont environ de 150 euros par mois alors qu'en France elles seraient de 60 euros en moyenne par mois.



   Pourquoi et comment Sonelgaz facture l'électricité si chère en Algérie pays producteur de gaz et pétrole?

Les factures d'électricité en Algérie sont du vol et de l'extorsion de fonds car comment expliquer de tel coûts avec un service de niveau très mauvais avec des coupures électriques férquentes qui pénalisent les entreprises et l'économie du pays? C'est comme si on disait que la facture d'électricité pour chaque français devrait être de 1200 euros qui pourrait payer?

Comment l'électricité peut coûter plus cher en Algérie qu'en France ou les électriciens sont payés six fois le salaires des employés de Sonelgaz?

Bouterfa achète une centrale électrique 5,5 milliards de dollars qui valait 800 millions et est promu ministre en Algérie !

 L'entreprise Sonelgaz a acheté des centrales électriques pour une valeur de 5,5 milliards de dollars alors que leur coûts réel serait de 55 millions d'euros.
 En Algérie il est possible de construire une ville de 2 millions d'habitants avec 5,5 milliards de dollars.
   Les directeurs de Sonelgaz ont préféré le français Alsthom et Général électric à une entreprise canadienne 6 fois moins chère pour les mêmes centrales soit environs 890 millions de dollars au lieu de 5,5 milliards de dollars! 
 Même le coût de 890 millions est faramineux car en fait ces entreprises achètent des composants allemands par exemple pour 30 millions de dollars puis facturent à l'Algérie 890 millions de dollars hors l'Algérie a des ingénieurs et des techniciens et des entreprise comme Trench fabriquent ces composants et peuvent donner leur expertise et ce gratuitement pour le montage d'usine électriques! En passant par l'entreprise Trench ces centrales auraient été 100 fois moins chères !


La mise sous contrôle judiciaire, révélée samedi par la presse, du directeur actuel de Sonelgaz Noureddine Bouterfa (sur la photo) et son prédécesseur Abdelkrim Boughanem a fait réagir le ministre de l’énergie et des mines, en visite lundi à Constantine. Le ministre rappelant un principe dira à ce propos, que la justice algérienne est "souveraine" et que "chacun devra assumer ses responsabilités".
Les propos du ministre de l’énergie sont tranchants : "Le ministère de l'énergie, quel que sera le verdict dans cette affaire impliquant notamment l’actuel président-directeur général de Sonelgaz et son prédécesseur, subira le meilleur et le pire des conséquences devant en découler" admettra t-il. Le ministère, ainsi que tous ses cadres, "se tiendront au service de la justice", a ajouté Youcef Yousfi, se refusant néanmoins à "tout jugement de valeurs" dans cette affaire, avant de souligner que "personne n’a le droit de s’ingérer dans les affaires d’une institution indépendante" et qu’il était "inadmissible" qu'on empiète sur les prérogatives de la justice.
Des centrales qui auraient coûté le sixtuple de leurs prix
Pour rappel, le journal Echourouk, de samedi, a fait état de la mise sous contrôle judiciaire de l’actuel P.D.G. de Sonelgaz et son prédécesseur, ainsi qu'une quinzaine de cadres du secteur. La cause : une présumée « violation » du code des marchés publics concernant les deux centrales électriques de Terga (Aïn Témouchent) et Koudiat Edraouech (El Tarf) pour un montant de 5 milliards de dollars.
Ces installations auraient coûté le triple de leurs prix réel. En effet, les conditions dans lesquelles les deux marchés ont été octroyés aux entreprises Alsthom et Général Electric auraient suscité des réserves dans les milieux énergétiques. Les offres de ces deux entreprises étaient, à l’époque, jugées « excessives par rapport au plafond fixé par Sonelgaz qui était de 3,4 milliards de dollars". N’assumant que le volet engineering- équipement, les deux entreprises ont été obligées de faire appel à des sous-traitants pour leur confier la construction des deux centrales.
Ainsi Alstom a sous-traité avec Orascom construction et général electric avec l’espagnol Iberdrola. Pour les spécialistes le montant de 5 milliards de dollars est excessif comparé à celui de Hdjeret Emnous de Tipaza réalisé par le canadien SNC Lavalin. Concernant la relation liant la compagnie pétrolière Sonatrach à la firme italienne Saipem, M. Yousfi a indiqué que "l'Algérie, pays souverain, prendra, si la nécessité l’y oblige, ses distances pour défendre ses intérêts de manière conforme à la loi". Le ministre a rappelé, dans ce contexte, que le respect des lois et des clauses dûment mentionnées dans un contrat, constituent une obligation pour l’aboutissement de tout projet.