lundi 21 novembre 2016

Les illuminatis du mossad ont prévu un attentat le 17 Décembre en France?

 Cette année obligé que le mossad opére un nouvel attentat avant la fin de l'année pour augmenter la haine des musulmans et empêcher les musulmans d'accéder à certains postes en France pour laisser la place aux agents du mossad et CIA !



 Il faut se méfier du 17 Décembre car c'est une date et regarder ce qui se passe à Starsbourg !

La reine d'Angleterre à déclaré profitez de votre dernier Noel !

Un gadget qui permet de pirater les drônes !

Un nouveau gadget minuscule a récemment émergé en ligne, vous permettant de détourner presque n'importe quel drone en l'air. Jonathon Andersson, un chercheur en sécurité pour Trend Micro, a conçu et développé ce petit appareil, qui a la capacité de détourner une variété de drones populaires, même si elles sont en plein vol. Avec ce petit appareil, vous pouvez verrouiller le propriétaire de votre drone cible et prendre le contrôle total sur elle.

Andersson a été en mesure de fournir à l'auditoire de la conférence PacSec Sécurité de cette année à Tokyo, une petite démonstration de ce que ce petit appareil peut faire.

Les drones ne sont pas la seule chose vulnérable à ce petit appareil. En fait, ce gadget est capable de détourner un large éventail d'autres appareils radio-contrôlés, y compris les hélicoptères RC, les bateaux RC, et d'autres dispositifs RC basés sur le protocole de contrôle de transmission sans fil, DSMx.

DSMx est un protocole spécifique qui facilite les communications entre le contrôleur radio et le récepteur radio.

Ce n'est pas le premier type de gadget qui fournit une assistance pour le détournement de drones. Dans un article précédent, j'ai écrit à propos d'un dispositif qui bloque le signal des drones en plein vol, en bloquant les signaux radio. Toutefois, les dispositifs de brouillage ne vous fournira aucun moyen de contrôle, ils simplement bloquer les signaux.

Icarus vous permet de contrôler votre drone ciblé.




Cette boîte fonctionne en exploitant les protocoles DSMx, en fin de compte vous fournir un contrôle total sur le drone; Vous permettant de diriger, accélérer, ralentir et même planter.

Icarus Box saisira la clé de ton drone cible et te permettra d'envoyer des paquets malveillants de données qui restreindront les commandes du propriétaire d'origine au drone. En substance, la boîte ne permettra que le drone de prendre des commandes de l'intrus.



Les fabricants travaillent déjà à libérer les patchs nécessaires à la mise à jour de leur matériel. Les fabricants prennent déjà des mesures de sécurité à partir du protocole de cryptage de l'industrie pour leurs futurs drones.

Icarus Box n'est pas vendu en ce moment, cependant, ce type de gadget bénéficiera aux fonctionnaires de droit locaux et fédéraux, aussi bien qu'aux individus avec l'activité inquiétante de drone aérien, à l'avenir.

Sources: Réseau RC (DSM2 vs DSMX), AnonHQ (Signal de brouillage de drone).

Cet article (Hijacking drones à mi-vol avec un nouveau dispositif minuscule) est une source libre et ouverte. Vous avez la permission de republier cet article sous une licence Creative Commons avec attribution à l'auteur et AnonHQ.

Le vrai terrorisme c'est la faim dans le monde et les terroristes sont ceux qui laissent des millions d'enfants mourir de faim !





Toutes les cinq secondes, un enfant de moins de dix ans meurt de faim; des centaines de millions souffrent avec leurs parents de sous alimentation permanente. Or, selon Jean Ziegler, ancien rapporteur de l'ONU pour le Droit à l'Alimentation, "l'agriculture mondiale, telle qu'elle est aujourd'hui, pourrait aujourd'hui nourrir 12 milliards d'être humains". Nous sommes pourtant moins de 7 milliards, et chaque jour, ce sont 100 000 personnes qui meurent de la faim ou de ses suites immédiates.

Les élites anglosaxonnes gagnent des milliards en racketant les pays arabes et africains !

  David Cameron suite aux attentats en Tunisie aurait reçu de l'argent à Panama puis une base américaine aurait été autorisé par l'état tunisien victime d'un odieux chantage des élites terroristes américaine set anglaises et leur valets ! Rumsfedl aurait obtenu gratuitement une concession pétrolière en Algérie de 500 000 km carrés et ce pour 99 ans parés que les uSA ont menacé de bombarder l'Algérie !

dimanche 20 novembre 2016

Le marocain ahmed Ghozali a vendu deux bateaux de sang de donneurs algériens en France destinés à l'Irak en 1991 !

  L'infiltré marocain agent du mossad et de la CIA ahmed Khozali ministre en Algérie en 1991 lors de la première guerre du Golfe a vendu deux bateaux de dons de sang d'algériens destinés à secourir les irakiens bombardé par le criminel terroriste Bush père lors de l'opération tempête du désert ! Il a vendu ces pochettes de sang en France puis a pu s'acheter une villa au Luxembourg !


Selon le journal algérien Achourouk, une enquête, ordonnée par le ministre algérien de la Santé, serait actuellement en cours, concernant le vol de plus de sept mille poches de sang des hôpitaux algériens, dans le cadre d’un trafic entre l’Algérie, la Tunisie et le Maroc. Ce sang volé serait acheminé vers les cliniques privées.
Samir Abdeljaoued, directeur général de l’inspection médicale au ministère de la Santé, a déclaré que côté tunisien, on avait également ouvert une enquête mais qu’il y avait peu de chances que ce trafic existe chez nous vu la réglementation très stricte qui régit les conditions de collecte et de distribution du sang.
Il a rappelé qu’une circulaire du ministère de la Santé de 1998 impose aux établissements de santé, aussi bien publics que privés, de noter dans un registre spécial la date d’arrivée du sang ainsi que le nom du fournisseur et du receveur.
Il a aussi déclaré à la TAP que la Tunisie n’a pas besoin d’importer du sang de l’étranger.

samedi 19 novembre 2016

La France contrôle totalement et espionne le flux internet en Algérie !

 Tout l'internet algérien passe par un câble internet sous marin qui passe par Marseille et donc l'Algérie ne dispose pas d'un réseau internet indépendant mais en dépend totalement de la France et ainsi toutes les données militaires économiques transactions bancaires passent par la France et France télécom dont Algérie Télécom Maroc télécom et Tunisie Télécom ne sont que des filiales !

De plus le pays ne dispose d'aucun centre stockage de donnéeset aucun fournisseur de sites web  laissant ses données entre Tel Aviv Paris Waschington et Londres !

Un nouveau chapitre de négociations s’ouvrira dans quelques mois sur le câble sous-marin que possède Global Telecom Holding (GTH), le Med Cable, actuellement à l’arrêt.
Selon une source de la direction de Djezzy, qui n’a pas souhaité divulguer son identité, « les parties engagées dans le dossier du rachat de Djezzy ont convenu d’enclencher de nouvelles discussions dans les mois qui suivent qui porteront quasi exclusivement sur la récupération et la réactivation du câble sous-marin Med Cable, qui relie, sur une longueur de 1300 km, Alger à Marseille via Annaba et Oran ».

L'Algérie est aux ordres de la CIA et du mossad et vend les données et le code ADN des algériens !

 Le clan d'oujda des marocains francs maçons et satanistes liés aux templiers des croisades suisses ont pris le pouvoir en Algérie.

Ce gouvernement a vendu les donnés personnelles de tous les algériens et leur  codes ADN et met des puces RFID du mossad partout sur les passeports les cartes d'identité et même les cartes grises de véhicules et demandent des prises de sang pour obtenir le permis de conduire par exemple et ce tous les dix ans comme si votre groupe sanguin pouvait changer en 10 ans ?


 L'Algérie a la connection internet la plus lente du monde pour censurer les données et les espionners elles passent toutes par un simple câble à Marseille autrement dit toutes ces données passent par la France étrange pour un pays soit disant indépendant.Alors que l'Algérie avec une simple connection satellite pourrait avec la fibre optique dispatcher un réseau indépendant mais la poste algérienne et algérie télécom seraient en fait de simples filiales de la Banque postale française et de France Télécom devenue orange !

 Ce gouvernement d'occupation vend l'ADN des algériens et leur données personnelles aux services secrets français américains anglais et israéliens ce qui représente une grave violation aux droits de l'homme !

Cameron et Sarkozy et Obama ont essayé de s'emparer de 200 milliards de dollars de fond souverains libyens !

Ces 200 milliards de dollars sont actuellement gelés dans les banques centrales européennes et que les Occidentaux n’évoquent qu’à demi-mot. Souvent, ils entretiennent l’amalgame selon lequel cet argent appartient à la famille d’El Gueddafi, «ce qui est totalement faux», souligne M.Leghliel. Les grands groupes financiers entourent d’un secret hermétique le volume de ces investissements dans leurs entreprises et filiales.
«Plus le chaos est entretenu, plus la guerre dure, et plus les Occidentaux tirent profit de cette situation qui les arrange parfaitement», éclaire notre analyste.

Le chaos dans la région ferait l’affaire de tout le monde...occidental. Les Britanniques étouffés financièrement trouveront les ressources nécessaires. Les Américains pour des visées éminemment militaires s’installeront durablement dans la bande du Sahel. Et la France jouera le rôle de sous-traitant dans cette région qu’elle considère comme son no man’s land.

Le seul écueil pour la France dans la région est bien évidemment l’Algérie. C’est ce qui explique l’agressivité du Quai d’Orsay envers Alger. Paris semble privilégier les solutions informelles au lieu de collaborer avec les pays qu’il accuse de ne pas fournir assez d’efforts dans le sens voulu par lui. Ainsi, il remet le dossier de la sécurité de ses ressortissants au Sahel sur la table et s’empresse de tirer la sonnette d’alarme à propos de nouvelles menaces sur la base d’un rapport de l’ambassade de France au Mali. Il existe un risque «très élevé» de prises d’otages de ressortissants français au Mali et au Niger, indique l’ambassade de France à Bamako dans une alerte publiée sur son site Internet.

On pourrait comprendre que cette nouvelle alerte est bien réelle et qu’elle est liée à la situation qui prévaut en Libye; une situation dont la France a une part de responsabilité, mais on doit s’interroger sur l’empressement affiché par les Français de recommander à leurs ressortissants d’éviter le Sud algérien.
«En raison des menaces actuelles dans la zone sahélienne, il est recommandé aux Français résidents ou de passage d’éviter tout déplacement dans les régions de Djanet et de Tamanrasset, même dans le cadre de circuits organisés par des agences agréées», souligne le ministère sur son site Internet, à la rubrique «Conseils aux voyageurs».

La région de Mopti se trouve à plus de 1000 km des frontières algériennes! Militairement et géographiquement, est-il possible de transporter un ou des otages sur cette distance? Pourquoi avoir donc introduit le nom de l’Algérie dans cette alerte juste au moment où elle est en train de déployer des moyens colossaux afin de sécuriser ses frontières avec le Niger et la Libye, après l’aggravation sécuritaire dans le pays voisin?
La France dont le rôle en Libye est confus, serait-elle en train de faire diversion? La question mérite d’être posée.
Les Français, «stressés» par une crise économique et sociale sans précédent et embourbés dans une pré-campagne d’élection présidentielle aux allures de règlements de comptes, sont en butte à de sérieux problèmes dans certaines de leurs anciennes colonies.
Faisant fi des résolutions criminalisant le paiement de rançon aux terroristes, Paris intervient en usant de toutes les cartes qu’il possède pour faire avorter toutes les résolutions d’une lutte commune contre le terrorisme, conclues entre les pays du Sahel.
Son objectif est tout simplement de reprendre le contrôle de ses anciennes colonies. La France fait une fixation sur le Sud algérien. Elle ruse pour impliquer l’Etat algérien dans une polémique initiée par le CNT libyen accusant l’Algérie de soutenir El Gueddafi.
Ikram GHIOUA

Algérie disparition de 350 milliards de dollars Christine Lagarde, Sarkozy et le FMI impliqués ?

  Depuis l'élection de david Bouteflika enfin on ne connait pas sa vraie identité plus de 350 milliards de dollars ont disparu des comptes de l'Algérie sur pression de Paris et Washington l'Algérie a été contrainte de placer sur des comptes douteux les fonds souverains sur conseil de Christine Lagarde employée de Sarkozy des milliards sur des fonds souverains aux USA un cadeau des Bouteflika aus USA ou disons le payement aprés chantage à une mafia militaire nazie et terroriste du Pentagone !

Une première depuis l’indépendance. Avec près de 170 milliards de dollars (environ 124 milliards d’euros) de réserves de change —162 milliards de dollars fin 2010—, l’Algérie n’a jamais eu les caisses aussi pleines.
Une belle cagnotte constituée par les ventes à l’étranger de pétrole et de gaz naturel qui atteignent en moyenne 55 milliards de dollars par an, représentant 98% des exportations.
Cette aisance, apparue depuis le milieu des années 2000, a permis aux dirigeants algériens de suivre d’un œil plutôt distrait la crise financière qui affecte l’Europe et les Etats-Unis. En effet, nombre de responsables ne se sont pas gênés pour rappeler que ces réserves de change correspondent à trois années d’importations de biens et de services ce qui, traduit pour l’opinion publique, visait à signifier que l’Algérie pouvait, et peut encore, se payer le luxe de tourner au ralenti sans rien exporter durant trente-six mois.
Mais les déboires financiers et budgétaires des Etats-Unis et de l’Europe ont poussé nombre d’Algériens à s’interroger sur la vulnérabilité de ces réserves de change placées à 95% à l’étranger.

Des réserves investies en obligations d’Etat

«Les Algériens se demandent à juste titre où sont placés ces 170 milliards de dollars et comment ils sont investis? Dans une conjoncture internationale où l’on parle de dégradation de la note des Etats-Unis, de faillite possible de la Grèce ou d’une menace d’explosion de la zone euro sans oublier l’extrême fragilité des banques occidentales ainsi que la dégringolade annoncée du dollar, il est normal que l’on s’inquiète pour "l’épargne" du pays»,commente un banquier algérois qui aimerait en savoir plus sur la politique suivie par la Banque centrale d’Algérie en matière de placements internationaux.
Du coup, l’institution monétaire a réagi à la fin du mois d’août en donnant quelques indications. Ainsi, les réserves de change algériennes sont-elles investies à 98% dans des obligations souveraines, c’est-à-dire émises par des Etats, et seules 2% sont déposées dans des banques (contre 20% il y a quelques années).
Si ces précisions ont été saluées par la presse algérienne, elles n’ont pas fait taire les critiques. En premier lieu, plusieurs experts déplorent le manque de transparence autour de la répartition des placements entre obligations américaines et européennes.
«On aimerait savoir si l’Algérie a acheté de la dette grecque. Quelle est la part des obligations espagnoles et portugaises dans nos avoirs? Même question concernant les bons du Trésor américain?» relève un ancien haut fonctionnaire qui craint que ces«réserves de change ne fondent comme neige au soleil du fait de la crise financière».
Louisa Hanoune fulmine et interroge devant ce nouveau scandale. Où sont les 5 milliards que le gouvernement dit avoir prêter au FMI en 2012 ?   
Serait-ce un énième scandale qui éclate ? Louisa Hanoune, présidente du Parti des travailleurs, vient de jeter un pavé dans la mare. « Si les experts du FMI, qui avaient visité le parlement algérien il y a peu, nient avoir reçu un prêt de la part des autorités algériennes en 2012, qu’on nous explique alors où est passé cet argent ? », lançait-elle devant ses militants à l’ouverture hier, de son bureau politique. Avant de renchérir et de recommander « l’arrêt immédiat des tractations si la procédure n’avait pas encore abouti ».
Pour rappel, en 2012, le ministère des finances avait annoncé sur son site officiel, l’octroi, au FMI, d’un prêt de 5 milliards de dollars. « L’Algérie a décidé de participer à l’emprunt lancé par le Fonds monétaire international (FMI) avec un montant de 5 milliards de dollars », pouvait-on lire dans un communiqué commun du ministère des Finances et de la Banque d’Algérie.
À l’époque Karim Djoudi, alors ministre des Finances, avait révélé que le FMI avait sollicité l’Algérie, car elle disposait d’un excédent financier confortable et qu’elle pouvait aider le Fonds Monétaire International à renflouer ses caisses et à faire face à la crise mondiale (*).
Quatre ans plus tard, l’Algérie frappe aux portes de ce même créancier: la roue tourne, et nos têtes aussi !


Hebib Khalil — Le Matin [Algérie]


Où sont passés les 350 milliards de dollars ?

Dans son document, la Cour des comptes fait état de malversations dans les dossiers de l’Andi et de l’Ansej et relève des lacunes et des insuffisances dans la gestion du budget d’équipement de l’État…

Accablant; c’est la meilleure manière de qualifier le rapport d’appréciation de la Cour des comptes sur la gestion des finances publiques, dont l’Expression détient une copie. Dans son document, l’institution a dénombré 105 comptes spéciaux du Trésor, dont 16 n’ont pas connu de mouvements. Le nombre de comptes d’affectation spéciale reste prépondérant avec 77 comptes, soit 73% des CST. Pour les autres catégories, il est recensé 11 comptes de prêts, 9 comptes de participation, 4 comptes d’avance, 3 de commerce et un compte d’affectation spécial «dotation».
Les ministres des Finances, de l’Agriculture, de la Culture, de l’Intérieur, de l’Industrie et de la PME se sont vu confier la gestion de 35 comptes soit 45% de la liste en vigueur. Certains de ces comptes sont restés non opérationnels durant l’exercice 2010. Les objectifs pour lesquels ils ont été ouverts, n’ont pas été réalisés dans les délais impartis. Les investigations de la Cour des comptes ont mis en exergue, le report incorrect des soldes de certains CAS, car il est constaté, des discordances au niveau des balances d’entrées et des soldes de fin d’année. Cela a affecté l’exactitude et la sincérité des soldes et n’a pas manqué de remettre en cause la conformité aux principes de la comptabilité publique et aux dispositions de la loi. Les objectifs assignés à la quasi-totalité des CAS n’ont pas été réalisés malgré le soutien de l’Etat et le volume des subventions qui leur sont attribués. Cela d’une part, de l’autre, ces CAS ont un poids considérable dans la structure du budget général de l’Etat. Le poids hégémonique ou le taux que représentent les dépenses relatives aux CAS dans le budget de fonctionnement de 2010, est de l’ordre de 90% en 2010, 98% en 2009 et 162% en 2008. La part des CAS dans le budget d’équipement est passé de 96% en  2009 à 89% en 2010. Ces CAS sont sollicités pour la réalisation des projets inscrits dans le cadre des plans quinquennaux 2004-2009 et 2009- 2014. A cet effet, des facilitations ont été accordées aux gestionnaires concernés pour l’exécution desdits projets. Le rapport en question note que la réalisation de projets et de programmes, afférents au budget d’équipement par l’intermédiaire des CAS s’est faite en violation du principe d’affectation des crédits et du caractère exceptionnel dédié à ces comptes. Cet état des lieux, qui n’est pas exhaustif, requiert une révision des modalités de gestion des comptes spéciaux pour permettre d’instaurer une rigueur dans leur gestion et une meilleure maîtrise de la part des agents d’exécution. L’écart dans les écritures comptables des agents d’exécution (ordonnateur et comptable), utilisation de crédit du compte abritant les dépenses en capital, aux lieu et place des CAS appropriés, utilisation des CAS pour réaliser des objectifs étrangers à ceux pour lesquels le compte a été créé, sont entre autres constatations relevées par la Cour des comptes. Des montants ont été transférés des CAS vers les comptes de liquidation des entreprises publiques en faisant fi des dispositions réglementaires et modalités de fonctionnement des CAS. En dépit du niveau très élevé des crédits cumulés, abrités par certains comptes, le taux de consommation reste dérisoire. De plus, les banques ne produisent pas les états faisant apparaître la liste des bénéficiaires (particulier ou organisme) des bonifications sur les crédits accordés.
Retard dans les opérations de liquidation des entreprises publiques
Le cadre légal régissant le compte spécial dédié à ces opérations, à savoir l’article 152 de la loi de finances pour 1994, demeure figé nonobstant les insuffisances relevées au plan de la réalisation des opérations. A titre illustratif, les travaux de liquidation, entrepris à l’échelle de la wilaya d’Alger ont nécessité une durée de près de 89 ans et parfois 13 ans!
L’instabilité des liquidateurs, l’absence de mesures obligeant les liquidateurs à clôturer les comptes financiers et transférer leurs soldes, le manque de qualification des membres de la commission, le volume important de dossiers de contentieux, la lenteur dans l’apurement de dettes, le manque de sincérité de la comptabilité de l’ordinateur où il a été constaté des différences et des incohérences dans les données des comptes respectifs… sont autant d’irrégularités relevées.
A titre d’exemple, les mouvements en crédits du «Fonds d’aide à l’accession à la propriété dans le cadre du dispositif location-vente sont nuls, alors qu’en 2008 et 2009, ils ont atteint respectivement 5 et 19 milliards de dinars.
L’examen des pièces comptables a révélé l’insuffisance dans la tenue des registres comptables et la discordance des situations comptables.
Faiblesse dans le recouvrement des recettes générales de l’Etat
A l’issue des investigations sur les conditions de la réalisation des recettes budgétaires, la Cour des comptes a eu à observer la faiblesse des recouvrements. Il a été relevé une accumulation importante des restes à recouvrir remontant aux années antérieures, totalisant au 31 décembre 2010, un montant de plus de 7700 milliards de dinars. Soit 2 fois et demie les recettes générales de l’Etat de l’exercice 2010. Estimée à un peu plus de 3 000 milliards de dinars, et près de 6 fois les revenus enregistrés au titre de Fonds de régulation des recettes (FRR), évalués à 1 318 MDA en 2010.
Ces recettes à recouvrer se rapportent notamment aux produits divers du budget, la TVA, IRG, TAP et IBS. Cela est dû en partie à l’absence de rigueur dans les poursuites des redevables défaillants vis-à-vis de l’administration.
Il a été noté également les insuffisances du contrôle fiscal. Il a fait remarquer une adéquation du nombre d’agents chargés du contrôle fiscal et les missions dévolues aux services chargés de l’assiette fiscale.
Sur un effectif global estimé à 13 797, en 2010 seuls 536 agents sont affectés au contrôle fiscal soit un taux faible de 4%. Sur un nombre de 376.770 dossiers fiscaux, 1465 ont été programmés pour la vérification de la comptabilité.
Cette faiblesse est due au manque flagrant de constats sur le terrain, la défaillance dans la coordination entre les services et la lenteur dans la circulation de l’information, déficience de moyens matériels et la non-collaboration de certaines administrations. Il est souligné que les insuffisances et les dysfonctionnements relevés, auraient pu être amoindris si le programme de modernisation de l’administration fiscale était réalisé.
Ce projet structurant lancé en 2001 trouve des difficultés pour sa concrétisation; d’ailleurs, toutes les opérations inscrites de 2001 à 2007, restent en cours d’exécution et même pendantes à la fin 2010.
Dépense fiscale exorbitante injustifiée
Pour le seul exercice 2010, le ministre des finances a déclaré un montant exorbitant de 430 MDA, au titre des dépenses fiscales sans pour autant décliner la base de calcul, ni fournir de détails ou d’explications sur les segments d’activités et les bénéficiaires pour lesquels celles-ci avaient été consenties. Signalons qu’une bonne partie de ces dépenses est constituée par des exonérations fiscales. Dans le cadre de mesures incitatives introduites par les différentes lois de finances afin d’encourager l’investissement et l’emploi, il a été octroyé un certains nombre d’avantages fiscaux et douaniers ayant atteint, en 2010, un montant de 93,66 MDA.
L’Andi et l’Ansej ont bénéficié respectivement de 73,18 et 20,48 MDA, soit des taux respectifs de 78% et 22% du montant global des exonérations. Malgré l’importance des exonérations accordées, le suivi des projets retenus n’a pas été au rendez-vous. L’absence de contrôle a encouragé certains promoteurs à ne pas respecter leurs obligations ou engagements.
Cette situation s’est aggravée également par une défaillance dans la coordination des différents intervenants, Douanes, Impôts, Ansej et Andi. Ce qui a amené certains investisseurs à détourner les projets de leur destination initiale et, dans certains cas, à la cession des équipements acquis dans ce cadre.* L’Expression-07.11.2


Entre la crise nationale du logement et le rêve immobilier espagnol, la frontière semble très mince. Acheter un appartement en Espagne peut s’avérer plus simple que de lorgner un logement à Alger. Et tant pis, même si c’est illégal !
La chute des prix de l’immobilier en Espagne, qui se poursuit, fait le bonheur de plus en plus d’Algériens. Acheteurs, vendeurs, agents immobiliers, passeurs de devises, affairistes et rêveurs de tout bord créent chaque jour de nouvelles passerelles entre Valence et Alger, Madrid et Oran, Alicante, Malaga, Constantine et bien d’autres villes des deux pays.

Les réseaux transfrontaliers qui tiennent ces «passerelles» se consolident et deviennent de plus en plus visibles. Ils tirent profit de la crise sans précédent qui frappe le pays. Depuis l’éclatement de la bulle immobilière en Espagne (2008), les expulsions de propriétaires surendettés battent leurs records (une hausse de 16,7% en 2012, selon les statistiques espagnoles). Les cas de liquidations de bien immobiliers saisis par les banques suite au surendettement des ménages et à la faillite des promoteurs immobiliers espagnols sont légion. Les Algériens, entre autres étrangers, y trouvent le bon filon. Les stocks de logements neufs invendus seraient de plus d’un million. Des milliers d’entre eux ont été achetés ces dernières années par des opérateurs immobiliers algériens.
Leur cible : le cadre algérien qui a économisé toute sa vie, les entrepreneurs, les riches, peut-être aussi les affairistes qui veulent blanchir leur argent même si l’Espagne n’est plus une destination de choix pour. La liste est longue. Le phénomène prend de l’ampleur, au vu et au su de tous. «Votre appartement en Espagne à un prix défiant toute concurrence, c’est ce que vous propose notre agence qui dispose d’une large gamme d’appartements à des prix variés et attractifs.» L’annonce parue, il y a quelques jours, dans un grand titre de la presse nationale est accompagnée d’un numéro de téléphone espagnol et de photos très alléchantes. Au bout du fil, un Algérien à la voix rassurante détaille les prix des appartements proposés à la vente : «Du neuf, de l’occasion, des ventes sur plan. Tout dépend de votre budget ! On vous facilitera toutes les procédures».
Les barrières légales levées
Des F2 à 25 000 euros (3,6 millions de dinars) à Alicante, de quoi acheter un F1 à Bachdjerrah. Toujours à Alicante, des F4 à 80 000 euros (11,6 millions de dinars), de quoi acheter un F3 à Ouled Fayet, des villas à 300 000 euros à Benidorm (44 millions de dinars), de quoi acheter un F5 dans un bel immeuble du centre-ville d’Alger). L’offre est effectivement alléchante (les prix ont baissé de 25 à 50% ces dernières années), d’autant que les agences immobilières qui les proposent lèvent les barrières légales qui interdisent ce genre de transactions avec une étonnante facilité. L’article 8 du règlement relatif aux règles applicables aux transactions courantes avec l’étranger et aux comptes devises est clair : «La constitution d’avoirs monétaires, financiers et immobiliers à l’étranger par les résidents à partir de leurs activités en Algérie est interdite.» Et pourtant, les annonces fleurissent sur le Net et les agences immobilières qui ont pignon sur rue proposent, prospectus en mains, la vente de ces appartements. Mieux, le paiement se fait même en dinars.
Les procédures sont simples. Il suffit d’abord de choisir son appartement, en prenant contact avec une agence, en Algérie ou en Espagne. Il y en a autant ici que de l’autre côté de la Méditerranée. Il faut ensuite s’offrir un petit séjour en Espagne pour entamer les procédures, 3 à 4 jours suffisent. Première étape : l’obtention du numéro d’identification estrangero (NIE), délivré par la police espagnole, document nécessaire pour l’établissement d’un acte de propriété et pour l’ouverture d’un compte bancaire de non-résident. Il est délivré entre 15 et 45 jours après la demande. Seconde étape, l’ouverture du compte, le versement d’un acompte de 10% à la signature du contrat. Les agences mettent à la disposition du client leurs réseaux de juristes, avocats et notaires. Les frais de cette première transaction peuvent aller jusqu’à 4000 euros (en plus de l’acompte). Il faut ensuite attendre deux à trois mois avant la finalisation de la vente qui se fait au moment du paiement. Il se fait dans la majorité des cas en dinars. C’est là qu’entrent en scène les passeurs de devises.

Un swift d’un nouveau genre
Hormis les cas précisés par la réglementation des changes, il est interdit de transférer des devises vers l’étranger, sauf autorisation du Conseil de la monnaie et du crédit de la Banque d’Algérie. Les infractions à la réglementation des changes étant punies d’une peine d’emprisonnement allant de 2 à 7 ans, les Algériens qui désirent acquérir des biens à l’étranger évitent le canal bancaire, quand bien même ils disposent de cartes bancaires internationales, de peur justement d’être au cœur d’un contrôle de conformité que la Banque d’Algérie peut initier à tout moment pour connaître la provenance exacte de la devise. A moins d’avoir «des garanties» de ne pas être inquiétés par les autorités, l’option des passeurs de devises, communément appelés «porteurs de valises» est la plus sûre. Ils ont leurs entrées, qu’ils gardent évidemment bien secrètes. Pour ceux qui n’ont pas la possibilité de transférer leur argent par petites tranches par l’entremise de proches en déplacements ou des résidents en Europe aptes à leur faire des virements, les passeurs de devises ont leurs méthodes.

Un des agents immobiliers installés en Espagne, joint hier par téléphone, l’explique : «Vous rassemblez le montant de l’achat en dinars. Nous vous fixerons rendez-vous avec un de nos agents à Alger, auquel vous ou une personne que vous aurez désignée remettra l’argent. Au même moment, ici en Espagne, un virement en euros sera effectué sur le compte que vous aurez ouvert plus tôt, en présence d’un avocat et du notaire. La transaction sera rapide et sûre.» Un genre de swift, méthode de virement international rapide et sécurisé, d’un genre nouveau. L’euro est ainsi vendu au prix du change parallèle. L’agent immobilier prend une commission de 2 à 3% sur l’opération de change. L’heureux acheteur se voit remettre son acte de propriété et c’est de nouvelles perspectives qui s’ouvrent à lui. Et là encore, le réseau continue de lui vendre une autre part de rêve : gérer ses procédures administratives pour l’obtention d’une carte de résidence. Une autre histoire.
Les passeurs de devises
Ils sont de plus en plus nombreux à s’adonner à cette transaction complètement illégale au vu et au su de tous sans être inquiétés. A chacun son point de vue. A la Banque d’Algérie, on décline toute responsabilité face à ce phénomène grandissant : «Nous ne contrôlons que ce qui passe par le canal bancaire, le reste ne relève pas de nos prérogatives», indique notre source. Les services des Douanes, présents à l’entrée et à la sortie des frontières aériennes (aéroports) et maritimes (ports) et en charge de la lutte contre les transferts illicites de capitaux semblent bien dépassés par le phénomène (ou plutôt impliqués ?). Les agents immobiliers, pour leur part, s’enorgueillissent d’aider d’honnêtes acheteurs à réaliser leur rêve immobilier. Ces derniers ont aussi leurs arguments. «La réglementation des changes est trop fermée et injuste. J’ai économisé toute ma vie pour acheter ce bien, je ne vois pas pourquoi je m’en priverai même si c’est illégal, sachant que la nomenklatura au pouvoir s’achète des biens partout dans le monde depuis des années en blanchissant son argent», se défend un nouvel acquéreur. Tout le monde y trouve son compte. Ces transferts d’argent vers l’Espagne sont certes illégaux, mais ils sont certainement d’une plate insignifiance devant les transferts illicites qui se jouent à plus grande échelle ailleurs et qui minent cruellement l’économie nationale.

Frais et taxes après achat :

L’achat d’une propriété en Espagne implique un certain nombre de frais qui peuvent représenter jusqu’à 10% du prix d’achat. Parfois même un peu plus quand il s’agit d’habitations neuves. Les agents immobiliers n’avertissent leurs clients que très tard. Enumération de quelques-uns d’entre eux : taxes de transfert (pour les reventes), taxe sur la valeur ajoutée (pour les nouvelles propriétés), taxes sur les documents juridiques, taxes foncières, frais de notaire, frais d’actes d’inscription, commission de l’agent immobilier, en plus des dépenses courantes (impôt foncier, impôt sur la fortune annuelle, impôt sur le revenu, assurances et frais d’entretien de l’habitation…).    F.  B.

La Banque d’Algérie se démarque :

La Banque d’Algérie, qui a pour mission «de maintenir dans le domaine de la monnaie, du crédit et des changes les conditions les plus favorables à un développement ordonné de l’économie», est face à ses limites. Il est, certes, dans ses prérogatives d’exercer un contrôle a posteriori pour s’assurer de la régularité des transactions internationales courantes et du transfert de et vers l’étranger. «Mais ce contrôle ne se limite qu’aux seules opérations effectuées par le canal bancaire», explique une source à la Banque d’Algérie. Et d’ajouter : «Nous sommes bien au fait de toutes ces irrégularités, mais nous ne pouvons rien faire.»     F. B.
Fella Bouredji -El Watan-27.04.2013.

Benidorm
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 Lorsque l’économie américaine est grippée, les conséquences risquent d’être graves pour l’Algérie. 

Les déboires de l’économie américaine risquent de donner des sueurs froides aux décideurs algériens 
Le professeur Abderrahmane Mebtoul est un expert qui revient de nouveau sur la crise de l’endettement des Etats et notamment le risque de l’insolvabilité de l’économie américaine, première puissance économique mondiale.
Ce risque d’insolvabilité, combiné avec l’actuelle crise européenne, serait catastrophique pour l’économie mondiale et entraînerait une récession généralisée pire que celle d’octobre 2008, indique-t-il à L’Expression.
Cela a un impact sur l’économie algérienne car toute contraction de l’économie mondiale signifierait moins d’exportations d’hydrocarbures comme en 2008/2009 où les recettes ont chuté de 45%.
Autre préoccupation. Mebtoul rappelle que selon le ministre des Finances, Karim Djoudi, 80% des 157 milliards de dollars sont déposés à l’étranger en bons du Trésor dont 45% aux USA, 45% en euros, le reste en yens et livres sterling, et toute dépréciation combinée à l’inflation mondiale donnerait un rendement négatif. Selon le même analyste, il y a lieu d’être attentif «au fait que 98% de nos exportations sont libellées en dollars et 60% de nos importations en euros». Le second souci a trait au taux de rendement de ces réserves qui pourraient être moindres que si elles étaient déposées dans d’autres banques. A cette objection, la réponse est simple: l’Algérie privilégie la sécurité plutôt que le rendement immédiat.
Mais d’où viennent les déboires de l’économie américaine qui risquent tant de donner des sueurs froides aux décideurs algériens?
Explication: en 2011, la dette publique américaine dépasse les 14.000 milliards de dollars, soit plus de 95% du PIB, étant supportée par des créanciers principalement japonais, chinois, européens et les pays du Golfe. L’Algérie a déposé plus de 40% de ses réserves de change en bons du Trésor américain. Cependant, les 7000 milliards de dollars de placements américains dans le monde reçoivent plus de dividendes de leurs investissements à l’étranger que le pays ne paie d’intérêts sur leurs dettes. Les avoirs américains à l’extérieur étant essentiellement composés d’actions alors que les créances étrangères correspondent à des titres obligataires sur le Trésor américain. La différence de rendement entre des actions et des obligations explique que les États-Unis restent, en dépit de leurs déficits, des investisseurs bénéficiaires.
Les partenaires des Américains peuvent, par contre, y laisser quelques plumes même lorsque les investisseurs cherchent refuge dans les bons du Trésor US pour se prémunir contre certains risques à travers une baisse de la rémunération des placements. Le résultat en est que les Etats épargnent plus pour gagner moins. D’autres inquiétudes sont exprimées par l’expert. «On pourrait assister à une chute du dollar américain qui entraînerait une vente massive des bons du Trésor. Aussi, je suis sceptique pour les 80% des réserves de change algérien placées à l’étranger dont 45% en bons du Trésor américains et 45% en euros quant aux déclarations du gouverneur de la Banque d’Algérie, lequel affirme que le rendement de ces réserves est de l’ordre de plus de 4%, ramenant presque 5 milliards de dollars d’intérêts par an», dit-il. Le rendement est bien en deçà, affirme Mebtoul.
Mais l’Algérie n’est pas le seul pays à déposer ses réserves à l’étranger. La Chine, deuxième puissance économique mondiale, en fait de même.
Courant 2010, sur 2450 milliards de dollars de réserves de change chinois, une grande partie est libellée en dollars. A fin août 2010, la Chine détenait un total de 868,4 milliards de dollars de bons du Trésor américain, selon des chiffres officiels américains.
Le hic est que Standard and Poor’s alerte en affichant une perspective négative de l’économie américaine. Le pronostic de Mebtoul est le suivant: la situation actuelle est insupportable et dangereuse et conduira au chaos si l’on n’entreprend pas de réformes profondes. Si les Etats-Unis ne mettent pas de l’ordre dans leur budget et ne font pas davantage d’économies, ils vont au-devant de problèmes douloureux avec pour risque d’accentuer la récession mondiale, le dollar représentant en 2010, pas moins de 60% des transactions mondiales contre 27% pour l’euro.
Pour l’Europe, des pays comme la Grèce, l’Italie, le Portugal et l’Espagne seront tôt ou tard menacés d’insolvabilité et l’Union européenne redoutera tôt ou tard que ces pays ne sombrent dans un chaos semblable à celui de l’Argentine en 2002 et de l’Islande en 2008, selon la même source. Ces chocs vont bouleverser une nouvelle fois l’économie mondiale. D’où l’urgence d’une refonte du système monétaire international avec de nouvelles institutions de régulation, préconise l’expert international. (L’Expression-18.07.2011.)
**DES REVENUS CONSIDÉRABLES ENGRANGÉS EN QUELQUES ANNÉES
Subvention des produits de large consommation, remboursement de la dette, corruption et gaspillages ont fini par éroder les finances de l’Algérie.
De 2000 à 2008, l’Algérie a pu engranger 350 milliards de dollars de revenus suite à l’exportation des hydrocarbures. Rien que l’année dernière, le Trésor a pu accumuler 76 milliards de dollars alors que les prévisions tablaient sur 80 milliards. Pour 2009, la chute des revenus sera plus drastique et représentera la moitié de ce qui a été récolté l’année dernière.
Ces données montrent d’abord la vulnérabilité de l’économie de l’Algérie vis-à-vis des hydrocarbures. Ce sont d’abord les importations qui sont tributaires des prix des hydrocarbures. D’ailleurs, depuis l’apparition de la crise financière en septembre de l’année dernière, les prix des hydrocarbures ont commencé à chuter. La réaction de l’Algérie, plusieurs mois après, a été de prendre des mesures pour réduire le montant des transferts des devises à l’étranger, car selon l’analyse du gouvernement, il n’est plus possible de poursuivre une propension à la dépense de 40 milliards de dollars par an sans menacer les équilibres des finances locales. D’ailleurs, une partie des 350 milliards de dollars de recettes est dépensée en paiement des flux d’importation. Dans les importations, il y a les machines et les équipements qui ne sont pas des biens que le commun des mortels peut apercevoir car ils sont destinés aux usines, mais il y a aussi tous les produits destinés au grand public comme les médicaments et les céréales. Les dépenses ne sont pas le seul poste auquel sont destinés les revenus des hydrocarbures. Depuis quelques années, le gouvernement a aussi pris l’initiative d’instituer le Fonds de régulation des recettes. Il a pour objectif de recevoir les excédents du prix du pétrole au-delà d’un certain seuil fixé par la loi de finances. Pendant longtemps, le prix de référence a été fixé à 19 dollars alors que le pétrole se vendait au-delà de ce prix. C’est la différence entre les deux paramètres qui est épargnée au sein du fonds. Cette pratique n’est pas nouvelle et elle est déjà en vigueur dans des pays du Golfe comme le Qatar et dans des pays européens comme la Norvège depuis plusieurs décennies. La finalité était d’investir l’excédent monétaire afin de réaliser des plus-values réservées aux générations futures lorsque le pétrole ne coulera plus à flots.
Les ressources accumulées par ce fonds ont atteint plus de 4 300 milliards. Si les revenus persistent à baisser, il sera possible de puiser de ces réserves pour financer au moins les salaires des fonctionnaires.
Une autre partie des ressources est destinée à alimenter les réserves de change. Elles sont actuellement de plus de 143,1 milliards de dollars. Ces avoirs servent à payer la facture des importations dans le cas où les recettes des exportations des hydrocarbures ne suffisaient plus. Mais c’est ce scénario que le gouvernement veut éviter car il suffit de quelques années de disette pour que ces réserves fondent.
Pendant longtemps, les revenus pétroliers de l’Algérie ont été destinés à payer la dette extérieure réduite de 30 à 5 milliards de dollars en quelques années. Tous ces paramètres témoignent de la solidité de la situation financière du pays. Mais on ne sait pas pour combien de temps. Cet avertissement a été porté même par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, devant les parlementaires. Selon lui, la principale question n’est pas de savoir ce qu’on fait de l’argent du pétrole mais de savoir si d’autres alternatives ont été mises en oeuvre pour pouvoir s’en passer.
Car pour l’instant, tout est financé grâce à la manne pétrolière. C’est le cas pour la construction des autoroutes, pour le fonctionnement des hôpitaux et pour le paiement des salaires des enseignants, des policiers et tous les autres fonctionnaires. L’Etat utilise aussi cet argent pour dégager l’équivalent de 10 milliards de dollars par an au titre des transferts sociaux. C’est grâce à cette démarche que les prix du lait et des céréales sont soutenus et que la différence par rapport au prix de vente au consommateur final a pu être supportée.
L’Etat subventionne aussi le logement en prenant en charge, à la place des promoteurs, une partie du prix des assiettes foncières et en payant des taux d’intérêt aux banques à la place des clients. Pourtant, il ne faut pas oublier que les gaspillages, même s’ils ne sont pas chiffrés, ne sont pas négligeables absorbant une partie des revenus de la nation.
La corruption a aussi un coût puisque les montants qui servent aux passe-droits sont ponctionnés de ces revenus. Ce qui nous renvoie à l’affaire des 26 milliards de dollars évoquée par un ancien Premier ministre…(L’Expression-27.08.09.)


La chute des cours du brut s’accentue au fil des semaines et les marchés peinent à trouver un nouveau prix d’équilibre. Rien ne semble indiquer à quel niveau les cours se stabiliseront et pour combien de temps. Il est aujourd’hui évident qu’il n’est plus possible de se voiler la face. Après avoir élaboré une loi de finances aux prévisions quelque peu oublieuses du contexte de dépression du marché pétrolier depuis le début de l’été, le gouvernement se ravise. Bien plus que l’idée d’une loi de finances complémentaire en 2015 pour corriger le tir, c’est tout le plan d’investissement quinquennal qui devra être recadré au regard de la crise qui s’annonce. Tardive est donc la prise de conscience.
Une question reste cependant en suspens : les mesures qui seront annoncées dans les prochains jours suffiront-elles à corriger les travers d’une politique trop prodigue n’ayant pas permis d’insuffler de croissance durable à l’économie nationale ? Les angles d’attaque qui se présentent pour l’heure s’orientent vers la contribution du secteur productif national qui devra (à supposer qu’il en ait les capacités) se mobiliser afin de freiner les importations et vers la réduction des dépenses, et ce, selon les priorités.
Les dépenses d’équipement prévues dans le cadre du programme d’investissement pourraient être les premières dans la ligne de coupes budgétaires à prévoir. Si l’on se refuse aujourd’hui d’évoquer une cure d’austérité en la matière, on convient d’une baisse des projections d’investissement dans les infrastructures, exception faite des structures à caractère social. Ainsi, comme en 2009, la solution la plus simpliste serait de réduire les dépenses d’équipement compressibles, ce qui aurait un impact sur la facture des importations de biens d’équipement industriels, de demi-produits et de services techniques, les trois postes d’achat les plus importants. Peu importe si cette option se traduit par un déclin de la croissance et une stagnation de l’activité économique.
L’autre problématique qu’il faudra poser est de savoir quelles seront les options que devra prendre le gouvernement dans le cas d’une baisse prolongée des cours du pétrole, la réduction des dépenses d’équipement n’étant qu’une solution à court terme. Au-delà de la sempiternelle question de la nécessaire rationalisation et de la rigueur budgétaire, il est important de se demander si les pouvoirs publics finiront par se pencher sur le cas des dépenses de fonctionnement qui, elles, ne bénéficient pas de la même flexibilité. Ces dernières sont constituées à hauteur de 45% de dépenses de personnel liées aux traitements et rémunérations, poste donc intouchable. Restent les transferts sociaux. Une question qui fâche, intimement liée aux subventions et au pouvoir d’achat du citoyen qui, au final, ne font qu’alimenter la boulimie des ménages et la tendance à la hausse des importations.
La gabegie gangrène la République
Pourtant, cette insatiabilité est loin d’être le propre du citoyen lambda. L’observation du train de vie des institutions de la République pourrait faire pâlir plus d’un. Bien qu’aucune indication sur ce poste de dépenses ne soit disponible en ce qui concerne les prévisions pour 2015, la lecture des données du projet de loi portant règlement budgétaire pour 2012 devrait dresser une idée assez précise de l’état d’esprit des tenants des institutions de l’Etat. Si en 2012, les crédits alloués aux frais de fonctionnement des institutions de l’Etat ont régressé au bénéfice des rémunérations des personnels, ceux-ci demeurent importants.
L’on apprend ainsi que l’Etat a dépensé, en 2012, près de 600 millions de dinars pour son parc automobile (près de 6 millions d’euros), un peu plus de 1,35 milliard de dinars (13,5 millions d’euros) pour divers achats, plus de 2,1 milliards de dinars (21 millions d’euros) pour les frais de gestion, 750 millions de dinars (7,5 millions d’euros) pour le poste habillement et, enfin, plus de 2 milliards de dinars (20 millions d’euros) pour le poste alimentation. Les travaux d’entretien ont représenté quant à eux un poste de dépenses de plus de 740 millions de dinars (7,4 millions d’euros).
Bien que ces postes de dépenses représentent moins de 3% de la consommation globale du budget de fonctionnement, la Cour des comptes n’a pas hésité à pointer plusieurs anomalies en ce qui les concerne. Gabegie et non-respect de la réglementation en matière d’achats semblent avoir empreint de leur sceau la gestion des matériels de service de l’Etat. C’est ainsi que la Cour des comptes évoque, pour le cas de certains départements ministériels, l’inobservation des règles d’inventaire des biens meubles et immeubles et de suivi des stocks de carburant ; le non-respect des dispositions relatives aux indemnités compensatrices pour frais engagés des agents en mission et la faiblesse des dispositions de contrôle interne. 
La Cour des comptes met également à l’index la budgétisation d’établissements n’ayant pas d’existence juridique ou faiblement exploités, ainsi que des subventions accordées à des agences sans prise en compte des reliquats des exercices précédents. Pis encore, l’organe de contrôle a posteriori accable la gestion de certains événements conjoncturels, à l’image des élections locales et législatives de 2012, où la gabegie s’est reflétée par la mise à disposition, par deux fois, de moyens logistiques aux membres de la commission de surveillance sans que ceux-ci ne soient récupérés. Il devient ainsi clair qu’au-delà des scandales ayant entaché la réalisation de certaines grandes infrastructures, au-delà du manque de maturation des projets et de leur réévaluation incessante, le fonctionnement des institutions est miné par l’Etat d’esprit du beylik. La rigueur et le changement sont nécessaires, à moins que cela ne s’impose par la crise.


La Suisse à son tour comme l'islande veut poursuivre les banksters !

«Si vous voulez continuer à être des esclaves des banques et payer le coût de votre propre esclavage, alors laisser les banquiers continuer à créer de l'argent et contrôler le crédit." - Josiah Stamp

L'Islande a gagné l'admiration des populistes ces dernières années en faisant ce qu'aucune autre nation dans le monde semble être disposée ou capable de faire: poursuivre les banquiers criminels pour l'ingénierie effondrement financier pour le profit.

Leur révolte efficace contre la classe bancaire, qui a conduit la petite nation dans la crise économique en 2008, est l'exemple le plus brillant encore que le monde n'a pas à être endetté à perpétuité à une élite riche et austère riche. En 2015, 26 banquiers islandais ont été condamnés à la prison et le gouvernement a ordonné une vente de banque au bénéfice des citoyens.

Inspirés par les progrès de l'Islande, les activistes en Suisse défendent désormais les cartels bancaires et ont réussi à faire appel à une initiative de référendum public qui attaquerait les banques privées où il importe le plus: leur pouvoir de prêter de l'argent, Avoir, et de créer de l'argent hors de l'air.

La Suisse tiendra un référendum pour décider s'il faut interdire aux banques commerciales de créer de l'argent.

Le gouvernement fédéral suisse a confirmé jeudi qu'il tiendrait un plébiscite, après que plus de 110 000 personnes ont signé une pétition demandant que la banque centrale ait le pouvoir exclusif de créer de l'argent dans le système financier.

La campagne, dirigée par le mouvement souverain suisse et connue sous le nom d'initiative Vollgeld, vise à limiter la spéculation financière en obligeant les banques privées à détenir des réserves de 100pc contre leurs dépôts. [Le télégraphe]

La Suisse est dans une position clé pour jouer un rôle révolutionnaire dans le changement de la façon dont fonctionne la banque mondiale. En plus d'être le port le plus sûr du monde pour le stockage de la richesse, il abrite également la Banque des règlements internationaux (BIS), une ombreuse société privée détenue par de nombreuses banques centrales du monde et agissant en tant que prêteur auprès des banques centrales. La BIS est le cœur même de la banque de réserve globale, la politique qui permet aux banques de prêter de l'argent qui n'existe pas réellement dans leurs dépôts bancaires, mais est littéralement créée électroniquement à partir de rien quand une banque étend une ligne de crédit.

La banque de réserve est la politique qui garantit la dette insurmontable comme le résultat de toutes les transactions financières.

L'initiative Souveraine Argent en Suisse vise à freiner la spéculation financière, résultat attendu et inévitable de la banque de réserve, outil qui rend l'aventurisme financier possible en fournissant aux banques des quantités infinies de monnaie fiduciaire.

Limiter la capacité d'une banque à produire de l'argent à partir de rien serait un coup direct aux racines du cartel bancaire et paralyserait leur capacité à manipuler l'économie mondiale. Voici comment cela fonctionne, en termes plutôt simplifiés:

... si nous avions accès aux mêmes terminaux d'ordinateurs que les banques, nous pourrions magique ou hors d'existence toutes les choses imaginaires que nous sommes formés pour penser comme important - l'argent - dans toutes les quantités que nous avons aimé.

Voici comment cela fonctionne: quand ils impriment beaucoup de ces choses, il ya un boom. Quand ils en impriment trop, il y a inflation (en fait, l'impression de l'argent est l'inflation). Quand ils cessent de l'imprimer ou tout simplement tenir dessus, il ya une dépression. [La source]

En Suisse, 90% de l'argent en circulation est électronique, et pour cela, la Banque Nationale de Suisse est devenue la cible directe de la campagne souveraine. Le droit suisse a dans le passé exigé des banques obligées de soutenir toutes les créations de devises avec des actifs collatéraux comme l'argent ou l'or physique, mais au cours des dernières décennies, le climat a changé et «en raison de l'émergence de transactions électroniques, les banques ont regagné l'occasion de Créer leur propre argent. "

La campagne de base a déclaré dans une déclaration publique sur les intentions du référendum, «les banques ne seront plus en mesure de créer de l'argent pour eux-mêmes, ils ne pourront prêter de l'argent qu'ils ont des épargnants ou d'autres banques.

Il s'agit là d'une tournure intéressante dans la saga humaine de l'homme contre les banques, et s'il reste à voir si le référendum passe ou non, il faut souligner qu'il a ses propres problèmes, articulés par Sam Gerrans:

Les 21 objectifs des illuminatis et le comité des 300 !

21 Objectifs des Illuminati et Le Comité des 300 par le Dr. John Coleman (vers 1993)

F rom: Hierarchie des conspirateurs: l'histoire du Comité des 300

1. Établir un gouvernement mondial unique / un nouvel ordre mondial avec une église unifiée et un système monétaire sous leur direction. Le gouvernement d'un seul monde a commencé à installer son église dans les années 1920 et 1930, car ils ont compris que la nécessité d'une croyance religieuse inhérente à l'humanité doit avoir un débouché et, par conséquent, mettre en place un organisme «église» pour canaliser Croyance dans la direction qu'ils souhaitaient.

2. De provoquer la destruction totale de toute identité nationale et de toute fierté nationale, ce qui était une considération primordiale si le concept d'un Gouvernement Mondial devait fonctionner.

3. D'engendrer et d'entraîner la destruction de la religion, et plus particulièrement de la religion chrétienne, à une exception près, de leur propre création, comme mentionné plus haut.

4. Établir la capacité de contrôler de chaque personne par le biais de contrôle de l'esprit et ce que Zbignew Brzezinski appelé techonotronics, qui créerait des robots humains et un système de terreur qui ferait Félix Dzerzinhski Terreur Rouge ressemblent à des enfants en jeu.

5. Faire cesser toute industrialisation et mettre fin à la production d'énergie électrique nucléaire dans ce qu'ils appellent «la société post-industrielle à croissance zéro». Excepté sont les industries de l'informatique et des services. Les industries américaines qui restent seront exportées vers des pays comme le Mexique où il existe une abondante main-d'oeuvre esclave. Comme nous l'avons vu en 1993, cela est devenu un fait grâce à l'adoption de l'Accord de libre-échange nord-américain, appelé ALENA. Les personnes non employables aux États-Unis, à la suite de la destruction industrielle, deviendront opium-héroïne et / ou toxicomanes de la cocaïne ou deviendront des statistiques sur l'élimination du processus de «population excédentaire» que nous connaissons aujourd'hui comme Global 2000.

6. Encourager et finalement légaliser l'usage des drogues et faire de la pornographie une «forme d'art», qui sera largement acceptée et, éventuellement, devenue assez courante.

7. De provoquer la dépopulation des grandes villes selon le procès mené par le régime de Pol Pot au Cambodge. Il est intéressant de noter que les plans génocidaires de Pol Pot ont été élaborés aux États-Unis par l'une des fondations de recherche du Club de Rome et supervisés par Thomas Enders, un haut fonctionnaire du Département d'Etat. Il est également intéressant que le comité cherche actuellement à réintégrer les bouchers Pol Pot au Cambodge.


8. Supprimer tout développement scientifique, sauf ceux jugés bénéfiques par les Illuminati. L'énergie nucléaire est particulièrement ciblée à des fins pacifiques. Particulièrement détestées sont les expériences de fusion actuellement dédaignées et ridiculisées par les Illuminati et ses chacals de la presse. Le développement de la torche de fusion expliquerait la conception illuminati des "ressources naturelles limitées" par la fenêtre. Une torche de fusion, bien utilisée, pourrait créer des ressources naturelles illimitées et encore inexploitées, même à partir des substances les plus ordinaires. Les utilisations de la torche de fusion sont légion, et seraient bénéfiques à l'humanité d'une manière qui, pour le moment, n'est même pas comprise à distance par le public.

9. Faire. A) guerres limitées dans les pays avancés, B) par la famine et les maladies dans les pays du tiers monde, la mort de trois milliards de personnes d'ici à 2050, des gens qu'ils appellent «mangeurs inutiles». Le Comité des 300 (Illuminati) a commandé à Cyrus Vance d'écrire un document sur ce sujet de la manière de provoquer un tel génocide. Le document a été produit sous le titre «Rapport mondial 2000» et a été accepté et approuvé pour l'action par l'ancien président James Earl Carter et Edwin Muskie, alors secrétaire des États, pour et au nom du gouvernement américain. Selon les termes du Rapport mondial 2000, la population des États-Unis sera réduite de 100 millions d'ici l'an 2050.

10. D'affaiblir la morale de la nation et de démoraliser les travailleurs de la classe ouvrière en créant un chômage de masse. Au fur et à mesure que les emplois diminuent en raison des politiques post-industrielles de croissance zéro introduites par le Club de Rome, le rapport prévoit des travailleurs démoralisés et découragés qui recourent à l'alcool et aux drogues. Les jeunes de la terre seront encouragés par la musique rock et les drogues à se rebeller contre le statu quo, sapant et finalement détruisant l'unité familiale. À cet égard, le Comité a demandé à l'Institut Tavistock de préparer un plan d'action sur la manière d'y parvenir. Tavistock dirige Stanford Research pour entreprendre le travail sous la direction du professeur Willis Harmon. Ce travail plus tard est devenu connu sous le nom de "Conspiration du Verseau".

11. Empêcher les gens partout de décider de leur propre destinée au moyen d'une crise créée l'une après l'autre, puis de «gérer» de telles crises. Cela va confondre et démoraliser la population dans la mesure où face à trop de choix, l'apathie à une échelle massive se traduira. Dans le cas des États-Unis, une agence de gestion des crises est déjà en place. C'est ce qu'on appelle l'Agence fédérale de gestion des urgences (FEMA), dont je comptais l'existence en 1980.

12. Pour introduire de nouveaux cultes et continuer à stimuler ceux qui fonctionnent déjà, y compris les gangsters rock tels que les Rolling Stones (un groupe de gangsters très favorisé par la noblesse noire européenne), et tous les groupes de rock créés par Tavistock qui a commencé avec les Beatles.

13. Continuer à construire le culte du fondamentalisme chrétien commencé par Darby, le serviteur de la Compagnie des Indes orientales britanniques, qui sera utilisé de manière abusive pour renforcer l'Etat sioniste d'Israël en s'identifiant avec les Juifs à travers le mythe du «peuple choisi de Dieu» et par Donner des sommes d'argent très importantes à ce qu'ils croient à tort est une cause religieuse dans l'avancement du christianisme.

14. De faire pression pour la propagation de cultes religieux tels que la Fraternité musulmane, le fondamentalisme musulman, les Sikhs, et de mener des expériences de contrôle de l'esprit du type Jim Jones et «Fils de Sam». Il est intéressant de noter que le défunt Khomeini était une création de British Military Intelligence Div. 6, MI6. Ce travail détaillé a précisé le processus étape par étape que le gouvernement américain a mis en œuvre pour mettre Khomeini au pouvoir.

15. Exporter des idées de «libération religieuse» dans le monde afin de saper toutes les religions existantes, mais plus particulièrement la religion chrétienne. Cela a commencé avec la «théologie de la libération jésuite», qui a mis fin à la domination de la famille Somoza au Nicaragua, et qui aujourd'hui est la destruction du Salvador, maintenant 25 ans dans une «guerre civile». Le Costa Rica et le Honduras sont également impliqués dans des activités révolutionnaires, provoquées par les jésuites. Une entité très active engagée dans la soi-disant théologie de la libération est la mission Mary Knoll, orientée vers le communisme. Cela explique l'attention des médias à l'assassinat de quatre des religieuses de Mary Knoll au Salvador il y a quelques années. Les quatre religieuses étaient des agents subversifs communistes et leurs activités ont été largement documentées par le gouvernement d'El Salvador. La presse américaine et les nouveaux médias ont refusé de donner un espace ou une couverture à la masse de documentation détenue par le gouvernement salvadorien, ce qui prouve ce que faisaient les religieuses de Mary Knoll dans le pays. Mary Knoll est en service dans de nombreux pays et a placé un rôle de premier plan en amenant le communisme en Rhodésie, en Moçambique, en Angola et en Afrique du Sud.

16. Pour provoquer un effondrement total des économies mondiales et engendrer un chaos politique total.

17. Prendre le contrôle de toutes les politiques étrangères et nationales des États-Unis.

18. Apporter le plus grand soutien aux institutions supranationales telles que les Nations Unies, le Fonds monétaire international (FMI), la Banque des règlements internationaux, la Cour mondiale et, dans la mesure du possible, rendre les institutions locales moins efficaces, en les mettant graduellement en place Les mettre sous le manteau de l'ONU.

19. Pénétrer et subvertir tous les gouvernements, et travailler de leur propre intérieur pour détruire l'intégrité souveraine des nations représentées par eux.

20. Organiser un appareil terroriste mondial (Al-queda, ISIS, ISIL, etc.) et négocier avec les terroristes chaque fois que des activités terroristes auront lieu. On se rappellera que c'est Bettino Craxi qui a persuadé les gouvernements italien et américain de négocier avec les Brigades rouges les kidnappeurs du Premier ministre Moro et du général Dozier. A part, Dozier a été placé sous les ordres stricts de ne pas parler ce qui lui est arrivé. S'il rompt jamais ce silence, il sera sans doute fait «un exemple horrible», de la manière dont Henry Kissinger a traité Aldo Moro, Ali Bhutto et le général Zia ul Haq.

21. Prendre le contrôle de l'éducation en Amérique avec l'intention et le but de la détruire totalement et complètement. En 1993, l'effet de cette politique est en train de se manifester et sera encore plus destructeur à mesure que les écoles primaires et secondaires commencent à enseigner l'éducation fondée sur les résultats.

Des compagnies pétrolières dont Total responsables du génocide des musulmans de Birmanie?




 L'Angleterre a planifié le génocide des musulmans du Myanmar car elle a décidé de ne pas leur faire de papier d'identité ce génocide a été prévu de longue date exterminer les Birmans musulmans pour voler leur terre riche en pétrole et gaz avec la complicité des 7 soeurs les compagnies pétrolères.

 C'est l'Angleterre qui a crée des cartes d'identité avec la France des yougoslaves musulmans croates et serbes des caractéristiques ethniques et religieuses qui apparaissent sur les cartes d'identité ainsi que les cartes d'identité au Rwanda qui font apparaitre l'origine ethnique Tutsi par exemple ces génocides ont été planifié !





Total est complice des violations des droits de l’homme commises dans ce pays depuis le 9 juillet 1992, date de sa décision d’investir dans le pipeline de Yadana. 

A l’époque, le Slorc [parti unique au pouvoir, ndlr] refuse le résultat des élections, les militants de la NLD [Ligue nationale pour la démocratie] sont harcelés et/ou contraints à l’exil, et Aung San Suu Kyi, prix Nobel de la paix en 1991, assignée à résidence.

L’appel ne doit pas dédouaner la France de ses responsabilités. Elle est - jusqu’à présent - le pays qui a le plus freiné le renforcement de sanctions européennes à l’égard de la junte.

Sanctions pour l’instant encore cosmétiques, inefficaces, parce qu’elles épargnent les secteurs stratégiques : pétrole, gaz ou bois de teck.

Le boycott est-il efficace contre les dictatures ?Cela appelle une appréciation au cas par cas.

Dans l’exemple de la Birmanie, qui n’est pas une économie de marché où l’on pourrait investir en marge de l’Etat, il n’est pas possible à des investisseurs étrangers de travailler dans ces secteurs stratégiques sans en passer par l’Etat, en l’occurrence la Myanmar Investment Commission, dont la majorité des membres sont militaires.

Ils doivent aussi opérer par la création d’une joint-venture avec une entreprise d’Etat telle que la Moge (Myanmar Oil and Gas Enterprise), qui a 15 % de la filiale de Total, la Total Myanmar Exploration and Production. Cela équivaut à une collaboration directe avec le régime et contribue au financement de la répression. La preuve : bien que le deal soit secret, les estimations les plus basses évoquent 200 millions de dollars [141 millions d’euros] par an de royalties payées par Total…


La Birmanie a signé une série d'accords d'exploration de pétrole et de gaz avec des groupes étrangers, a indiqué mercredi un journal gouvernemental, alors que le pays tente de s'ouvrir sur l'extérieur et de réformer son appareil productif.
La société publique Myanma Oil and Gas Enterprise (BIEN: Myanma) a signé un total de neuf accords depuis le mois de mars, selon le magazine Myanmar Ahlin.
"C'est la première fois dans l'histoire de la Myanma Oil and Gas Enterprise qu'elle signe neuf accords en si peu de temps", a-t-il dit sans préciser les montants en jeu mais en ajoutant que des compagnies nationales étaient concernées en tant que partenaires dans les neuf accords.
Les groupes étrangers cités sont l'EPI Holdings (Hong Kong), Geopetro International (Suisse), Petronas (Malaisie), Jubilant Energy (India), PTTEP (Thaïlande), Istech Energy (Indonésie) et CIS Nobel Oil (Russie).
Selon le journal, dix sociétés étrangères explorent actuellement 24 gisements offshore, et huit travaillent sur 20 zones d'exploration terrestre.
Les autorités imposent aux groupes étrangers de coopérer avec une société locale s'ils veulent pénétrer le marché. "De nombreuses compagnies contactent la Myanma Oil and Gas Enterprise pour (...) investir", a-t-il relevé.
Le président Thein Sein a déclaré mardi dans un discours à la Nation que son pays était entré dans une deuxième vague de réformes, centrées cette fois sur l'économie, après plus d'un an de profonds changements politiques.
Les analystes relèvent que les bénéfices des revenus pétroliers et gaziers ont été confisqués depuis cinquante ans par la junte. Mais celle-ci s'est auto-dissoute en mars 2011 après avoir confié le pouvoir à d'anciens militaires qui ont depuis multiplié les réformes.
Les ressources du pays ont déjà attiré des investissements importants de la Chine et de l'Inde, mais les investisseurs occidentaux ont été entravés depuis plus de 15 ans par les sanctions américaines, et par celles de l'Union européenne qui ont été suspendues en avril.
Selon les chiffres de la CIA américaine, la Birmanie disposerait de réserves de 50 millions de barils de pétrole et de 283,2 milliards de m3 de gaz naturel, dont une grande partie offshore.
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