samedi 19 novembre 2016

Des compagnies pétrolières dont Total responsables du génocide des musulmans de Birmanie?




 L'Angleterre a planifié le génocide des musulmans du Myanmar car elle a décidé de ne pas leur faire de papier d'identité ce génocide a été prévu de longue date exterminer les Birmans musulmans pour voler leur terre riche en pétrole et gaz avec la complicité des 7 soeurs les compagnies pétrolères.

 C'est l'Angleterre qui a crée des cartes d'identité avec la France des yougoslaves musulmans croates et serbes des caractéristiques ethniques et religieuses qui apparaissent sur les cartes d'identité ainsi que les cartes d'identité au Rwanda qui font apparaitre l'origine ethnique Tutsi par exemple ces génocides ont été planifié !





Total est complice des violations des droits de l’homme commises dans ce pays depuis le 9 juillet 1992, date de sa décision d’investir dans le pipeline de Yadana. 

A l’époque, le Slorc [parti unique au pouvoir, ndlr] refuse le résultat des élections, les militants de la NLD [Ligue nationale pour la démocratie] sont harcelés et/ou contraints à l’exil, et Aung San Suu Kyi, prix Nobel de la paix en 1991, assignée à résidence.

L’appel ne doit pas dédouaner la France de ses responsabilités. Elle est - jusqu’à présent - le pays qui a le plus freiné le renforcement de sanctions européennes à l’égard de la junte.

Sanctions pour l’instant encore cosmétiques, inefficaces, parce qu’elles épargnent les secteurs stratégiques : pétrole, gaz ou bois de teck.

Le boycott est-il efficace contre les dictatures ?Cela appelle une appréciation au cas par cas.

Dans l’exemple de la Birmanie, qui n’est pas une économie de marché où l’on pourrait investir en marge de l’Etat, il n’est pas possible à des investisseurs étrangers de travailler dans ces secteurs stratégiques sans en passer par l’Etat, en l’occurrence la Myanmar Investment Commission, dont la majorité des membres sont militaires.

Ils doivent aussi opérer par la création d’une joint-venture avec une entreprise d’Etat telle que la Moge (Myanmar Oil and Gas Enterprise), qui a 15 % de la filiale de Total, la Total Myanmar Exploration and Production. Cela équivaut à une collaboration directe avec le régime et contribue au financement de la répression. La preuve : bien que le deal soit secret, les estimations les plus basses évoquent 200 millions de dollars [141 millions d’euros] par an de royalties payées par Total…


La Birmanie a signé une série d'accords d'exploration de pétrole et de gaz avec des groupes étrangers, a indiqué mercredi un journal gouvernemental, alors que le pays tente de s'ouvrir sur l'extérieur et de réformer son appareil productif.
La société publique Myanma Oil and Gas Enterprise (BIEN: Myanma) a signé un total de neuf accords depuis le mois de mars, selon le magazine Myanmar Ahlin.
"C'est la première fois dans l'histoire de la Myanma Oil and Gas Enterprise qu'elle signe neuf accords en si peu de temps", a-t-il dit sans préciser les montants en jeu mais en ajoutant que des compagnies nationales étaient concernées en tant que partenaires dans les neuf accords.
Les groupes étrangers cités sont l'EPI Holdings (Hong Kong), Geopetro International (Suisse), Petronas (Malaisie), Jubilant Energy (India), PTTEP (Thaïlande), Istech Energy (Indonésie) et CIS Nobel Oil (Russie).
Selon le journal, dix sociétés étrangères explorent actuellement 24 gisements offshore, et huit travaillent sur 20 zones d'exploration terrestre.
Les autorités imposent aux groupes étrangers de coopérer avec une société locale s'ils veulent pénétrer le marché. "De nombreuses compagnies contactent la Myanma Oil and Gas Enterprise pour (...) investir", a-t-il relevé.
Le président Thein Sein a déclaré mardi dans un discours à la Nation que son pays était entré dans une deuxième vague de réformes, centrées cette fois sur l'économie, après plus d'un an de profonds changements politiques.
Les analystes relèvent que les bénéfices des revenus pétroliers et gaziers ont été confisqués depuis cinquante ans par la junte. Mais celle-ci s'est auto-dissoute en mars 2011 après avoir confié le pouvoir à d'anciens militaires qui ont depuis multiplié les réformes.
Les ressources du pays ont déjà attiré des investissements importants de la Chine et de l'Inde, mais les investisseurs occidentaux ont été entravés depuis plus de 15 ans par les sanctions américaines, et par celles de l'Union européenne qui ont été suspendues en avril.
Selon les chiffres de la CIA américaine, la Birmanie disposerait de réserves de 50 millions de barils de pétrole et de 283,2 milliards de m3 de gaz naturel, dont une grande partie offshore.
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